Filmographie : Michel STEYAERT
Éteindre son smartphone pendant 24 heures. C’est ce qui a été demandé à un groupe d’adolescents d’horizons divers, réunis à la campagne pour interroger leur rapport au sommeil et à la connectivité. Chacun à leur manière, ils ont tenté de poser un regard et un constat personnel sur le sujet. Les réactions ne se sont pas fait attendre...
Litsa Boudalika participe à Cinéastes en Classe. Invitez-la dans votre classe !
“Class portraits” tells a peculiar experience, the encounter of two classes of schoolgirls that everything keeps apart: origin, culture, religion, area, not to mention social class. The ones are uptown lycéennes, the others attend the secretary classes of a technical college in a popular area of Brussels. Meeting after meeting, the grow closer, prejudices make gradually way for interest and dialogue. An oriental tale, “The dove with the necklace”, colours this video-poem with the shades of solidarity.
Litsa Boudalika participe à Cinéastes en Classe. Invitez-la dans votre classe !
« Photo de classes » est le récit d'une aventure exceptionnelle, la rencontre de deux groupes de jeunes filles que tout semble séparer : la culture, la religion mais surtout le milieu social. Les unes sont lycéennes dans un quartier huppé, les autres étudient le secrétariat dans une école d'enseignement technique d'un quartier populaire de Bruxelles.
Le Collectif s'attaque à l'urgence du réchauffement climatique. Dans un procès fictif accusant à la fois les gouvernements, les multinationales et les lobbys, le Collectif dénonce avec ferveur les conséquences désastreuses des activités humaines sur notre planète.
Entre solutions à petites échelles et condamnations des grandes entreprises, il est temps de réagir, si l'on veut tous se donner rendez-vous en 2050...
A Bruxelles, un groupe de citoyens tâche pendant 5 ans de trouver, financer et réhabiliter un bâtiment qui accueillera des services sanitaires permettant aux plus démunis de « se refaire une beauté et redresser la tête ». Leur parcours du combattant, tant financier qu'administratif, prend les allures d’un film à suspense.
Sous la douche, le ciel donne à voir la transformation d’une idée en réalité, revendiquant la place de l’imagination comme moteur d’action citoyenne face à un horizon politique bouché.
Alors que le monde de la culture est totalement à l’arrêt, cinq danseurs s’efforcent de poursuivre leur pratique et nourrir leur passion. En période de confinement, ils inventent des moyens d’exercer leur art : des battles, des workshops ou encore des talks s’organisent et rassemblent la communauté en pleine pandémie mondiale. Grâce aux réseaux sociaux, des connexions se créent à l’international et un nouveau mode d’échanges se développe. De là des questions émergent : qu’est-ce que cela a de positif et apporte à la culture ? Est-ce qu’un monde temporaire est viable ?
Le film dévoile encore l’après confinement, le retour des événements en live et la perception qu’en ont eu les danseurs.
Une plongée au cœur d’une communauté : son vécu pendant le confinement et aujourd’hui, une nouvelle réalité révélée.