Marta Bergman participe à Cinéastes en Classe. Invitez-la dans votre classe !

Mineurs, servantes, apprentis, verriers, trieuses de laine... Ils avaient entre 10 et 14 ans quand ils ont commencé leur carrière d’ouvriers. Enfants sans enfance, sacrifiés aux besoins de l’industrie, les voilà devenus vieux. De ce passé, ils gardent en mémoire des images d’une saisissante beauté, où la dureté du travail, l’injustice quotidienne et la révolte étouffée s’entremêlent à la naïveté de l’enfance.

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Enfants ouvriers

de Marta BERGMAN - BE - 1998 - 00h51min

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Enfants ouvriers

de Marta BERGMAN - BE - 1998 - 00h51min

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Mineurs, servantes, apprentis, verriers, trieuses de laine... Ils avaient entre 10 et 14 ans quand ils ont commencé leur carrière d’ouvriers. Enfants sans enfance, sacrifiés aux besoins de l’industrie, les voilà devenus vieux. De ce passé, ils gardent en mémoire des images d’une saisissante beauté, où la dureté du travail, l’injustice quotidienne et la révolte étouffée s’entremêlent à la naïveté de l’enfance.

Equipe du film :
Réalisation
Marta BERGMAN
Montage
Philippe Boucq
Producteur
Serge Kestemont
Distributeur
Thierry DETAILLE
Contacts Producteur :
Société
Luna Blue Film
Adresse
109, rue du Fort B-1060 Bruxelles
Site internet
www.lunabluefilm.net
Téléphone
+32 2 - 537 40 70
Description
Serge KESTEMMONT
Contacts Distributeur :
Adresse
19F, avenue des Arts 1000 Bruxelles
Téléphone
0477 - 61 71 70
Fax
04 - 340 10 41
Description
Thierry DETAILLE
Dominique Legrand, Le Soir

«Enfants ouvriers» de Marta Bergman Enfants sans enfance, les voilà devenus vieux
On ne se prenait pas pour un homme à quatorze ans. Pour un p'tit gamin. Les vieux - ils avaient 25 ans - étaient tellement mûrs... Alexandre vit dans une cité ouvrière avec sa femme. Alexandre est sans doute le mineur le plus connu de Belgique, figure notoire des «gueules noires», avec un physique tout droit sorti de «Germinal». Alexandre n'était pas le seul gosse à être descendu dans la mine en culottes courtes mais il a un coeur qui déborde de choses à raconter. Obsédé par la mémoire, il écrit ses souvenirs à la troisième personne, par pudeur, et il photographie les sites industriels en déliquescence. (Lire la suite)

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