Nouveautés
La résistance belge sauva plus de 4000 enfants juifs pendant l’occupation nazie. Le film est construit autour de témoignages de certains de ces résistants et de ceux qui furent ces enfants. Comment plusieurs milliers d’enfants juifs ont-ils pu échapper à la déportation et à l’extermination pendant l’occupation nazie de la Belgique ? Chaque vie sauvée a son histoire. Le film retrace la solidarité qui s’est développée dans la population belge à travers les témoignages de ceux qui ont caché, placé ou aidé les enfants pourchassés, parfois au risque de leur propre vie. Témoignages aussi de ceux qui étaient ces enfants et qui aujourd’hui, racontent...
Retrouvées dans un grenier dans les années 70, ces lettres sont un condensé de vies amoureuses entre Hélène femme de chambre d’une comtesse et Octave un garde forestier du roi Albert I.
Cette correspondance témoigne d’un passé révolu celui de « La Belle Époque » quelques mois avant le début de la guerre 14-18.
C’était il y a plus d’un siècle mais on y trouve une constante : les sentiments amoureux sont toujours aussi complexes aussi forts.
Au gré des recherches et des hasards, nous découvrirons qui sont Hélène et Octave.
Dame, poussières est basé sur une interview de Latifa, ma femme de ménage. Depuis dix ans, pour des raisons de santé, je suis aidée par les aides ménagères du Centre familial de Bruxelles. Sans savoir quelle forme cela prendrait, j'ai toujours eu envie de faire quelque chose sur elles, pour rendre compte de leur disponibilité, de leur ouverture, et du fait que leur travail ne consiste pas seulement à faire le ménage chez les gens! Car tout en travaillant, ces femmes papotent, s'intéressent à vous, se souviennent de vous, vous questionnent et vous parlent du monde. Pour certaines personnes aidées, il s'agit de l'unique contact avec l'extérieur...
A travers le portrait que Latifa fait de Madame Kaslawska, une femme tchèque qu'elle a aidée pendant dix ans, et à travers les dessins, on peut s'imaginer le genre de relation qui se crée au fil des jours, au fil d'une aide qui s'avère très précieuse.
Il est question d'une ville, d'une jeune fille, d'une promenade. Il est question de ce qu'on voit, et de ce qu'on ne voit pas. D'images fantômes et de trous dans le cerveau. Car l’œil sert d’objectif mais ne créé que du subjectif… Comment pouvons-nous être sûrs que ce que nous voyons existe vraiment ? La mécanique quantique nous apprend que la réalité n’existe que parce qu’elle est regardée par un observateur. Si l’observateur est aveugle, les choses existent-elles quand même ? Sarina, 18 ans, se promène dans Bruxelles, sa ville. Elle la raconte à sa manière : en sensations et lumières… se rêvant géante pour un soir s’approprier la ville en la caressant du bout des doigts… Et si, voir au delà des apparences permettait de ne plus percevoir que l’essence des choses, et selon les mots de Sarina, d’apprivoiser la mort ?
Tamara a 26 ans. Intelligente et impertinente, elle mène une existence paisible à Tel Aviv, sans connaître de problèmes existentiels. Tamara est convaincue qu'elle sait tout sur tout le monde et se considère comme un détective du quotidien. Une rencontre fortuite avec Adina, une mendiante, va entraîner Tamara vers une nouvelle enquête qui risque de bouleverser sa vision du monde.
25 ans après Tchernobyl, nous avons oublié les dangers du nucléaire... Les conséquences de ce désastre ne sont toujours pas maîtrisées.
Les derniers évènements au Japon, nous montrent que nous n'avons pas encore tiré les leçons de cette catastrophe. L'homme a la mémoire courte mais l'atome a la vie longue. Ce film inédit sur Tchernobyl aujourd'hui est là pour nous le rappeler.
Dans une caserne fantomatique, le Docteur A et l’Infirmier O se cherchent. Ils combattent la nuit avec leurs armes : la gravure sur bois et le cinéma.
À travers ce film, nous racontons ce qu'à été la guerre d'Algérie pour une génération de femmes. À partir d'archives et les témoignages de 3 combattantes, Eliette Loup, Louisette Ighilahriz, Fatma Baïchi, elles racontent une histoire, qui commence dans les années 30, durant leur enfance, leur adolescence, en Algérie, fille de musulmans ou fille de colons. Et puis en 54, leur vie s'emballe pour plonger dans la nuit, durant huit longues années. Elles avaient entre 15 et 20 ans pendant la bataille d'Alger, les maquis, les arrestations, la torture et la détention. Emprisonnées, elles retrouveront la solidarité et l'entraide humaine. Dans cette reconnaissance de la guerre d'Algérie, nous accompagnons, 40 ans plus tard, l'une d'elles dans le procès qu'elle a intenté à de grands officiers pour l'utilisation de la torture. Notre film est aussi l'hommage à ces militaires français qui ont su rester dignes et nobles.
Au départ, il y avait un besoin impérieux de comprendre « le mécanisme secret qui guide Pierre Droulers dans son aventure artistique périlleuse »Afin d’entrer dans l’intimité du chorégraphe, Ludovica Riccardi s’est insinuée dans le processus de création de Inouï. « Un spectacle qui restitue l’inouï de la plus simple manifestation, du détail le plus infime, tirés provisoirement de leur discrétion naturelle
Une jeune fille en quête de romance arrive à Venise. Elle est témoin d'un vol à St-Marc et le voleur tente de se débarrasser d'elle. Dans la lutte qui s'en suit, elle avale la pierre qu'il avait volée à St Marc. Il se voit alors lié à elle par intérêt. Les deux personnages traversent Venise en dansant un étrange tango, tantôt se rapprochant, tantôt se repoussant sous une pluie diluvienne . La jeune fille amoureuse a-t-elle raison d’espérer? Entièrement filmée et montée, la vidéo d’origine sert de base à un dessin animé pictural.