Mots clés : Maladie
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Un souffle traverse les couloirs des hôpitaux. Tout en douceur, les artistes du "Pont des Arts" offrent des moments d’art au pied des lits. Une touche de couleur, un vent de musique, une bulle de rêve et de poésie, qui permettent de s’échapper pour un temps d’une réalité difficile. L’artiste en hôpital apporte un souffle d’air qui aide les uns à guérir, les autres à travailler. À l’hôpital, comme partout ailleurs, l’art humanise. Mais à l’hôpital, comme partout ailleurs, sa survie est menacée. Dans un monde où tout est calculé, monnayé, pesé, comment justifier son utilité ? Dans ces conditions difficiles, qu’est ce qui fait qu’un artiste continue de s’investir dans ce partage au lieu de se replier sur lui-même et sa création ?
Franco, Joanna, Audrey, Lia et Philippe, ont tous été frappés par un malaise brutal et inexpliqué lors d’un voyage à Florence, à Paris, ou à Barcelone. Ils témoignent : Que s’est-il passé ? Insolation ? Chute de tension ? Perte de repères ? Une enquête commence... Graziella Magherini, psychiatre à Florence, revient sur les questions qui l’ont obsédée alors qu’elle tentait avec ses patients d’élucider les causes de ce mal contemporain: mal du voyage, trouble lié aux lieux hantés par l’Histoire, PEUR DU BEAU, MAL DE L’ART ? Une enquête mystérieuse, une plongée vertigineuse à la découverte du SYNDROME DE STENDHAL !
Christophe Hermans participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Manuela, Stéphanie, Anita, Nicole et Madeleine. 5 femmes qui, pour des raisons différentes, ont perdu leurs cheveux et fait appel aux services de Christel, esthéticienne sociale. Ce film est celui de leur quotidien, de leur combat pour se (re)construire une image et une féminité.
Une vie démente a remporté le Prix des lycéens du Cinéma 2022.
FILM UNIQUEMENT DISPONIBLE AUX UTILISATEURS "ENSEIGNANTS" DANS LE CADRE DU PRIX DES LYCEENS (accès du lundi au vendredi, de 8h à 17h)
Alex et Noémie, la trentaine, voudraient avoir un enfant. Mais leurs plans sont chamboulés quand Suzanne, la mère d’Alex, se met à faire de sacrées conneries. C’est parce qu’elle a contracté une « démence sémantique », maladie neurodégénérative qui affecte son comportement. Elle dépense sans compter, rend des visites nocturnes à ses voisins pour manger des tartines, se fabrique un faux permis de conduire avec de la colle et des ciseaux. Suzanne la maman devient Suzanne l’enfant ingérable. Drôle d’école de la parentalité pour Noémie et Alex !
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