Mots clés : Violence
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En 1998, Semira Adamu, nigériane de 20 ans en séjour dit "irrégulier" sur le sol belge, mourrait étouffée sous un coussin policier alors qu'on tentait de l'expulser. 20 ans plus tard, dans un cri de guerre conjugué au féminin, deux femmes racontent. À travers leurs récits, elles mettent en lumière la réalité des centres fermés destinés à la détention des personnes migrantes, les conditions de ces enfermements, la souffrance des détenu.e.s, les exactions des gardiens et des gendarmes.
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Threatened with death by ETA, Aritz Arrieta lives under the constant protection of his two bodyguards. Councilor in Mondragon, one of the strongholds of radical Basque nationalism, Aritz running for mayor in the municipal elections of May 2011. « Basque chronicle » plunges us into the life of the young socialist elected and confronts us with a society marked by more than 40 years of terrorism. In October 2011, ETA renounced its "armed activities", without having yet surrendered. While the terrorist organization still has not disappeared, this film traces the outline of the challenges facing the Basque society of tomorrow: the victims of terrorism and the delegitimation of violence.
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Menacé de mort par l’ETA, Aritz Arrieta vit sous la protection permanente de ses 2 gardes du corps. Conseiller municipal à Mondragon, l'un des fiefs du nationalisme radical basque, Aritz brigue le poste de maire lors des élections municipales de mai 2011. Chronique basque nous plonge dans le quotidien de ce jeune élu socialiste et nous confronte à une société marquée par plus de 40 ans de terrorisme. En octobre 2011, l’ETA renonçait à ses « activités armées », sans pour autant avoir encore rendu les armes. Alors que l'organisation terroriste n’a toujours pas disparu, ce film trace les contours des défis qui attendent la société basque de demain: la mémoire des victimes du terrorisme et la dé-légitimation de la violence.
Benoit De Clerck participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Cinq femmes racontent leur histoire « d’amour ». Chacune d’entre elles a vécu un coup de foudre, une merveilleuse rencontre avec l’homme qui deviendra par la suite son bourreau. L’emprise qui s’installe lentement mais fermement. Et puis la violence, protéger ses enfants et fuir. Doucement essayer de se reconstruire, retrouver l’estime de soi et se mettre à l’abri. Ce film nous raconte la chronologie d’un coup de foudre qui mène au drame à travers six histoires.
Magritte du Meilleur Documentaire 2016
En 1989, le gynécologue congolais Denis Mukwege renonce à une brillante carrière en France pour rentrer avec sa famille dans son Kivu natal y soigner les femmes victimes des pires violences sexuelles. Indigné par ces 15 années de guerre, Denis Mukwege dénonce le manque de volonté politique pour y mettre fin et demande à qui profite cette guerre. « Les populations du Kivu seraient-elles sacrifiées pour des mines de coltan ? ». En novembre 2012, « l’homme qui répare les femmes » échappe à une sixième tentative d’assassinat. Pourquoi ? Qui veut sa mort ? Ce film est le portrait d’un homme d’exception, pasteur, médecin, père de famille, dont les choix de vie et l’incessant combat contre la barbarie nous interpellent, nous renvoient à nous même et à notre société en crise, en recherche de valeurs et de repères.
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