Mots clés : Écologie
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L’histoire se déroule dans un ancien village de pêcheurs, la mer a disparu, le manque d’eau rend la vie très difficile. Les hommes sont partis chercher du travail ailleurs. Parmi les enfants restés au village, Boris et Toumbil sont liés l’un à l’autre par une forte amitié. Un jour, les parents de Boris déménageront dans le nord pour une vie meilleure, même si il faut tout quitter. Pourtant, dans ce paysage désolé, les enfants continuent à s'amuser et les bateaux échoués sont pour eux une merveilleuse plaine de jeux.
Sergio Ghizzardi participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
A l’heure où le prix du pétrole est au plus bas et l’espoir d’une solution pour décarboner le transport s’est peut-être évanoui, « L’or vert » raconte l’histoire d’un projet politique, d’une chimère industrielle, énergétique et d’un désastre environnemental : les biocarburants.
Sur la ligne de départ de ce défi énergétique, on trouve tous les aventuriers des temps modernes. Hommes et activistes politiques, scientifiques, industriels, pétroliers. Leur devise : « Remplacer l’or noir par l’or vert ! » Ils sont prêts à miser gros pour trouver l’Énergie nouvelle et devenir les Rockefeller du XXIe siècle.
Résultats : Des milliers d’hectares de forêts se sont évanouis en fumée et des milliards d’investissement aux quatre coins de la planète ont été engloutis, sans répondre aux 2 défis majeurs que nous connaissons : la lutte contre le changement climatique et la souveraineté énergétique.
« L’or vert » est un documentaire d’investigation qui nous plonge sans tabou, avec intensité et suspens dans le monde de l’énergie renouvelable, en explorant son histoire, et en révélant les conséquences scientifiques, politiques, économiques et environnementales de la mise en place de cette nouvelle industrie énergétique.
« L’or vert » nous plonge au cœur d’une course effrénée !
L’association mouscronnoise "Fraternités ouvrières", aujourd’hui, ce sont des jardins-vergers sauvages, un grainier comptant six mille variétés de semences, des cours et des ateliers gratuits. Son passeur, porte-parole et cheville ouvrière, c’est Gilbert. Tous les jardiniers curieux de Lille, Bruxelles ou Gand, tous ceux et celles qui veulent lier social et jardinage passent là pour se frotter à sa parole et à son jardin, roboratifs et luxuriants. Et lui, l’ancien délégué syndical, il leur dit : "Je préfère bouffer de la merde à plusieurs plutôt que de manger du bon tout seul".
Dans la zone évacuée autour de la centrale nucléaire de Fukushima, 5 ans après la catastrophe, le village de Tomioka est toujours vide de ses quinze mille habitants. Quelques rares individus vivent encore sur cette terre brûlante de radiations. Alors que les travaux de «décontamination», orchestrés par le gouvernement nippon, semblent bien dérisoires et vains face à l’étendue du séisme tant humain qu’écologique, l’existence apparemment déraisonnable mais paisible de ces irréductibles nous rappelle qu’un bout de terre est, en dernier recours, notre lien le plus sûr au monde.
Pierre libère Yoyo, le perroquet sa grand-mère. Mais l’animal doit d’abord apprendre à voler avant de rejoindre ses compatriotes en Amazonie …
Les animaux vivent paisiblement sur une petite île au milieu de l’océan. Un jour, un pétrolier heurte un rocher non loin de là, c’est la marée noire...
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