Filmographie : Luna Blue Film
Il est question d'une ville, d'une jeune fille, d'une promenade. Il est question de ce qu'on voit, et de ce qu'on ne voit pas. D'images fantômes et de trous dans le cerveau. Car l’œil sert d’objectif mais ne créé que du subjectif… Comment pouvons-nous être sûrs que ce que nous voyons existe vraiment ? La mécanique quantique nous apprend que la réalité n’existe que parce qu’elle est regardée par un observateur. Si l’observateur est aveugle, les choses existent-elles quand même ? Sarina, 18 ans, se promène dans Bruxelles, sa ville. Elle la raconte à sa manière : en sensations et lumières… se rêvant géante pour un soir s’approprier la ville en la caressant du bout des doigts… Et si, voir au delà des apparences permettait de ne plus percevoir que l’essence des choses, et selon les mots de Sarina, d’apprivoiser la mort ?
Un souffle traverse les couloirs des hôpitaux. Tout en douceur, les artistes du "Pont des Arts" offrent des moments d’art au pied des lits. Une touche de couleur, un vent de musique, une bulle de rêve et de poésie, qui permettent de s’échapper pour un temps d’une réalité difficile. L’artiste en hôpital apporte un souffle d’air qui aide les uns à guérir, les autres à travailler. À l’hôpital, comme partout ailleurs, l’art humanise. Mais à l’hôpital, comme partout ailleurs, sa survie est menacée. Dans un monde où tout est calculé, monnayé, pesé, comment justifier son utilité ? Dans ces conditions difficiles, qu’est ce qui fait qu’un artiste continue de s’investir dans ce partage au lieu de se replier sur lui-même et sa création ?
La langue wallonne - partie intégrante de l’identité belge francophone - son origine, ses particularités et son avenir sont abordés à travers le parcours de plusieurs personnes et leur attachement à ce patrimoine identitaire. Un mouvement de résistance s’est installé naturellement face au risque de voir le wallon disparaître.
Viet Nam entre 1961 et 1975 n’a pas seulement
provoqué la mort de 4 à 5 millions de personnes,
cette guerre continue son travail de destruction à
cause de la dioxine (agent orange) épandue par les
troupes US pour détruire les forêts, les cultures et
les populations. Des milliers d’enfants monstrueux
ou handicapés naissent chaque année et personne
ne peut dire quand cessera la contamination
d’une population innocente. Les États-Unis sont
responsables de crimes de guerre et de crimes
contre l’humanité. En parallèle aux témoignages,
Jean-Marc Turine lit une lettre qu’il destine à une
jeune fille victime innocente de la dioxine, Liên.