Filmographie : Damien Rouchaud
Dernière année d’école pour une douzaine de jeunes de l’IPES d’Ath (Belgique). Ils ont entre 17 et 21ans et, dans quelques mois, ils seront prêts à entamer leur vie professionnelle d’agriculteur, de coiffeur, de cuisinier ou de mécanicien. Au-delà des clichés souvent véhiculés sur l’enseignement de qualification, nous allons suivre leur année scolaire de l’intérieur et son lot de réflexions sur la société. Et après l’école, qu’y a-t-il ? Et après la crise, que fait-on ? Regards croisés en trois épisodes de 52 minutes sur un fil en permanence tendu par des jeunes qui n’ont ni leur langue en poche ni de temps à perdre.
Dernière année d’école pour une douzaine de jeunes de l’IPES d’Ath (Belgique). Ils ont entre 17 et 21 ans et, dans quelques mois, ils seront prêts à entamer leur vie professionnelle d’agriculteur, de coiffeur, de cuisinier ou de mécanicien. Au-delà des clichés souvent véhiculés sur l’enseignement de qualification, nous allons suivre leur année scolaire de l’intérieur et son lot de réflexions sur la société. Et après l’école, qu’y a-t-il ? Et après la crise, que fait-on ? Regards croisés en trois épisodes de 52 minutes sur un fil en permanence tendu par des jeunes qui n’ont ni leur langue en poche ni de temps à perdre.
Dernière année d’école pour une douzaine de jeunes de l’IPES d’Ath (Belgique). Ils ont entre 17 et 21 ans et, dans quelques mois, ils seront prêts à entamer leur vie professionnelle d’agriculteur, de coiffeur, de cuisinier ou de mécanicien. Au-delà des clichés
souvent véhiculés sur l’enseignement de qualification, nous allons suivre leur année scolaire de l’intérieur et son lot de réflexions sur la société. Et après l’école, qu’y a-t-il ? Et après la crise, que fait-on ? Regards croisés en trois épisodes de 52 minutes sur un fil en permanence tendu par des jeunes qui n’ont ni leur langue en poche ni de temps à perdre.
pour obtenir des accords politiques et atteindre leurs objectifs ?
Comment se fait-il que les accords sur le climat permettent
aux gros pollueurs de déforester allègrement les terres abritant
leurs activités tout en spéculant sur des arbres revendus
à prix d’or sur le marché des crédits carbone ? Pourquoi les populations
locales vivant au bord de l’Amazone se voient-elles
privées de leurs activités de subsistance en échange d’une
compensation dérisoire quand Coca-Cola rase des hectares
à quelques kilomètres de là ? Un système nouveau s’est mis
en place, résultat des négociations peu avouables entre ONG
environnementales et multinationales pollueuses.