Filmographie : Aline Gavroy
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Raïssa (17 ans) et Alio (18 ans) entretiennent une puissante amitié. Partageant la même chambre dans un foyer d’accueil depuis plusieurs années, quelle n’est pas la surprise de Raïssa lorsqu’elle découvre qu’Alio a brusquement quitté les lieux sans la prévenir. La retrouvant dans une situation compliquée, Raïssa prend les devants afin de remettre de l’ordre dans la vie de son amie.
Pierrot fête joyeusement ses sept ans avec son père, son frère et sa soeur. Mais sa mère manque, alitée à l’étage de la maison. Pierrot se retrouve confronté à l’incertitude, empêché de la voir par ses proches désespérément silencieux.
Les visiteurs et visiteuses arrivent des quatre coins du monde dans l’atelier de Cézanne, sur les traces d’une révolution picturale qui a transformé l’art, le regard et la vie. Elle s’est déroulée ici, dans la solitude et le travail obstiné, au milieu des objets familiers, de la nature provençale et des murs gris bleu peints par le maître lui-même. Trois guides prennent soin du lieu, des êtres et des choses, de la mémoire qui brasse l’air et le silence d’hiver. Petites conversations sur la beauté, présences visibles et invisibles, vanités au goût de pomme. L’arrière-saison est propice aux rencontres et à la transmission joyeuse.
Dalva est est sélectionné dans le cadre du Prix des lycéens du Cinéma 2023-2024 ! Si vous y êtes inscrit, nous vous encourageons vivement à découvrir les films avec vos classes au cinéma en priorité. La Fédération Wallonie-Bruxelles intervient dans la prise en charge des tickets d’entrée. Pour plus d’infos: prixdeslyceens@cfwb.be.
Dalva a 12 ans mais s'habille, se maquille et se vit comme une femme. Un soir, elle est brusquement retirée du domicile paternel. D'abord révoltée et dans l'incompréhension totale, elle va faire la connaissance de Jayden, un éducateur, et de Samia, une adolescente au fort caractère. Une nouvelle vie semble alors s’offrir à Dalva, celle d’une jeune fille de son âge.
Eurovillage, un village de vacances isolé au milieu de la forêt ardennaise, a été converti en 2011 en centre d’accueil pour demandeurs d’asile. Les résidents qui l’habitent y attendent, pendant une durée indéterminée, la réponse à cette angoissante question: vont-ils oui ou non obtenir un statut de réfugié et avoir l’autorisation de rester sur le territoire belge?
Comment traversent-ils cette étrange période, déconnectés de la vie réelle, suspendus entre ce qu’ils ont quitté et un futur incertain, qui, pour un grand nombre d’entre eux, prendra la forme d’un « ordre de quitter le territoire »?
Le quotidien organisé d’une employée de maison trop solitaire est ébranlé par la culpabilité de ses pulsions... A moins que ce ne soit le poids des non-dits dans la maison familiale où elle travaille ?
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