Filmographie : Caroline NUGUES-BOUCHAT
L’histoire se déroule dans un ancien village de pêcheurs, la mer a disparu, le manque d’eau rend la vie très difficile. Les hommes sont partis chercher du travail ailleurs. Parmi les enfants restés au village, Boris et Toumbil sont liés l’un à l’autre par une forte amitié. Un jour, les parents de Boris déménageront dans le nord pour une vie meilleure, même si il faut tout quitter. Pourtant, dans ce paysage désolé, les enfants continuent à s'amuser et les bateaux échoués sont pour eux une merveilleuse plaine de jeux.
camping au bord de la mer avec ses parents. Avec son père,
elle collecte de précieux trésors ayant appartenu, selon son
père, à une sirène. Il lui raconte l’histoire de cette sirène qui
ne savait pas chanter et qui, du coup, n’arrivait pas à trouver
sa place dans la société. Les vacances se prolongent plus
que d’accoutumée et ce que découvre Louise au fil des jours,
c’est que l’histoire de cette sirène pourrait bien être celle de
son père.
Le système éducatif congolais. Un système émaillé par la volonté politique du parti état. Tourné en plusieurs techniques d’animation, Kelasi raconte en travelling une journée d’école au Congo/Zaïre. Un travail mémoriel qui laisse une porte ouverte à l’avenir pour l’éducation au Congo.
Par la force des choses et surtout de la machine, nous sommes devenus des êtres somnambuliques, des êtres privés de bon Dieu, des damnés de la terre et des cobayes par dessus-le-marché noir de l’histoire des cobayes de la machine