Filmographie : Damien DEFAYS
Anne Levy-Morelle participe à Cinéastes en Classe. Invitez-la dans votre classe !
Un « casus belli » c’est, littéralement, un motif de guerre. Ce motif peut être essentiel ou futile, et le feu qu’il allume une guerre mondiale ou une querelle de voisinage. Certaines étapes se retrouvent quelle que soit la taille du conflit : incompréhension - interprétations de signes, actes ou paroles - dénigrement - insultes franches ou voilées - escalade. Le feu est plus facile à allumer qu’à éteindre ! Ce film s’intéresse au difficile travail de ramener les humains en discorde à une paix relative. Deux métiers et deux lieux sont explorés : le médiateur de quartier, qui écoute, s’abstient de tout conseil, tâche de faire émerger la solution des parties elles-mêmes et le juge de paix, qui tantôt tranche, tantôt s’efforce de dégager un accord – parfois au forceps. Devant eux, le théâtre de l’humanité, avec ses ruses, ses fanfaronnades, ses manœuvres de séduction, et sa sincérité.
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Un « casus belli » c’est, littéralement, un motif de guerre. Ce motif peut être essentiel ou futile, et le feu qu’il allume une guerre mondiale ou une querelle de voisinage. Certaines étapes se retrouvent quelle que soit la taille du conflit : incompréhension - interprétations de signes, actes ou paroles - dénigrement - insultes franches ou voilées - escalade. Le feu est plus facile à allumer qu’à éteindre ! Ce film s’intéresse au difficile travail de ramener les humains en discorde à une paix relative. Deux métiers et deux lieux sont explorés : le médiateur de quartier, qui écoute, s’abstient de tout conseil, tâche de faire émerger la solution des parties elles-mêmes et le juge de paix, qui tantôt tranche, tantôt s’efforce de dégager un accord – parfois au forceps. Devant eux, le théâtre de l’humanité, avec ses ruses, ses fanfaronnades, ses manœuvres de séduction, et sa sincérité.
Il est question d'une ville, d'une jeune fille, d'une promenade. Il est question de ce qu'on voit, et de ce qu'on ne voit pas. D'images fantômes et de trous dans le cerveau. Car l’œil sert d’objectif mais ne créé que du subjectif… Comment pouvons-nous être sûrs que ce que nous voyons existe vraiment ? La mécanique quantique nous apprend que la réalité n’existe que parce qu’elle est regardée par un observateur. Si l’observateur est aveugle, les choses existent-elles quand même ? Sarina, 18 ans, se promène dans Bruxelles, sa ville. Elle la raconte à sa manière : en sensations et lumières… se rêvant géante pour un soir s’approprier la ville en la caressant du bout des doigts… Et si, voir au delà des apparences permettait de ne plus percevoir que l’essence des choses, et selon les mots de Sarina, d’apprivoiser la mort ?
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Qu' y a-t-il de commun entre une ville médiévale, la vie humaine et un hôpital ?
Voilà trois espaces clos, d'une certaine taille, dans lesquels on entre un jour et dont on sort après un certain temps. Qui comportent des portes discrètes, des passages détournés, des histoires, et aussi des leçons à apprendre. "Sur la pointe du cœur" est un poème épique sur la naissance et la mort, dont le personnage principal est l'hôpital Saint-Pierre, au cœur de Bruxelles. C'est un lieu de voyage, un voyage immobile et pourtant très lointain. La destination porte plusieurs noms : l'autre, l'ailleurs, le mystère, le dragon, le cœur. Elle se résume aussi à cette quête sans âge: comment traverser les murs ?