Filmographie : Félix BLUME
Aria tammorra
Andrea GAGLIARDI
- BE - 2010 - 00h48min
Andrea, à la recherche de ses racines culturelles, nous invite à rencontrer Zi Giannino, Sabatino et Tonino à travers les campagnes napolitaines. Tous les trois, chanteurs virtuoses des communautés paysannes des alentours du Vésuve, incarnent une tradition musicale d'une vitalité inouïe: la Tammurriata. " J'ai voulu montrer ce qui m’a touché chez ces personnes et qui m’a rendu fort : leur générosité, leur manière d’être, leur plaisir de partager des émotions, cette fantaisie aussi qui les porte à dédramatiser des situations graves. Leur plaisir d’exister avec les autres, en somme, et qu’ils célèbrent dans les fêtes populaires. » Andrea Gagliardi. Ce film nous offre d’entrer dans un monde de sensations, de vibrations qui font le "sel" de la terre. Il rend hommage à ceux qui réussissent à transmettre un bien précieux : la puissance de la fête.
Chronique basque (sous-titré anglais)
Marie-Paule JEUNEHOMME
- BE - 2012 - 00h53min
Threatened with death by ETA, Aritz Arrieta lives under the constant protection of his two bodyguards. Councilor in Mondragon, one of the strongholds of radical Basque nationalism, Aritz running for mayor in the municipal elections of May 2011. « Basque chronicle » plunges us into the life of the young socialist elected and confronts us with a society marked by more than 40 years of terrorism. In October 2011, ETA renounced its "armed activities", without having yet surrendered. While the terrorist organization still has not disappeared, this film traces the outline of the challenges facing the Basque society of tomorrow: the victims of terrorism and the delegitimation of violence.
Chronique basque (sous-titré français)
Marie-Paule JEUNEHOMME
- BE - 2012 - 00h53min
Menacé de mort par l’ETA, Aritz Arrieta vit sous la protection permanente de ses 2 gardes du corps. Conseiller municipal à Mondragon, l'un des fiefs du nationalisme radical basque, Aritz brigue le poste de maire lors des élections municipales de mai 2011. Chronique basque nous plonge dans le quotidien de ce jeune élu socialiste et nous confronte à une société marquée par plus de 40 ans de terrorisme. En octobre 2011, l’ETA renonçait à ses « activités armées », sans pour autant avoir encore rendu les armes. Alors que l'organisation terroriste n’a toujours pas disparu, ce film trace les contours des défis qui attendent la société basque de demain: la mémoire des victimes du terrorisme et la dé-légitimation de la violence.
Oltremare (Colonies fascistes)
Loredana BIANCONI
- BE - 2016 - 01h23min
Dans l’Italie fasciste des années 30, le petit village de Borgo voit une partie de ses habitants, poussés par la misère ou l’esprit d’aventure, émigrer dans les colonies de « L’Empire Italien d’Afrique ». Ils s’en vont chercher l’Eldorado que la propagande fasciste leur a promis. Leur rêve se brise après quelques années seulement. La guerre et la chute du régime entraînent la perte des Colonies, les obligeant à revenir à Borgo, après avoir tout perdu. Cette épopée nous est dévoilée par les mots, les mémoires écrites et les centaines de photos de quelques témoins. L’histoire se déploie dans un parcours intime qui nous révèle une parole longtemps tue. Une aventure coloniale vue de l’intérieur.
Zéki (sous-titré anglais)
Karine BIRGE
- BE - 2014 - 00h32min
Dans l’exil, jusqu’où un homme doit-il aller pour préserver sa dignité ? Régularisé à l’âge de 43 ans, Zéki vit à Bruxelles aux côtés de sa femme Eylem. Chaque jour, avant l’aube, il part travailler dans un grand dépôt en Flandre. Dans une alternance de séquences théâtralisées et de scènes documentaires, Zéki revisite sa mémoire, en mots et en gestes, dévoilant des bribes de son quotidien. Ce film est le portrait sensible d’un homme qui a risqué sa vie pour sortir de la clandestinité.
Zéki (sous-titré français)
Karine BIRGE
- BE - 2014 - 00h32min
Dans l’exil, jusqu’où un homme doit-il aller pour préserver sa dignité ? Régularisé à l’âge de 43 ans, Zéki vit à Bruxelles aux côtés de sa femme Eylem. Chaque jour, avant l’aube, il part travailler dans un grand dépôt en Flandre. Dans une alternance de séquences théâtralisées et de scènes documentaires, Zéki revisite sa mémoire, en mots et en gestes, dévoilant des bribes de son quotidien. Ce film est le portrait sensible d’un homme qui a risqué sa vie pour sortir de la clandestinité.