Mots clés : Judaïsme
- 1
- 2
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
« Masarat » : les chemins, les parcours en arabe. C’est aussi le cheminement du réalisateur, Gérard Preszow, qui le mène de Belgique en Palestine, sa judéité bruxelloise en bandoulière. Terre d’exacerbation des questions identitaires, la Palestine oblige chacun à se dire et à se définir. Clichés, stéréotypes, amalgames, identités revendiquées, identités désignées… La tragédie palestinienne face à la futilité belge? Ou, plus « simplement », dans l’un et l’autre cas, la transformation d’une crispation identitaire en la possibilité de l’écoute et de l’échange.
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
“Masarat”: in Arabic, “the paths”, “the itinerary”. It also refers to the progression of the Belgian film director, Gérard Preszow, which drives him from Belgium to Palestine with his Brussels Jewish identity on his back.Land of exacerbated identity questions, Palestine forces everyone to introduce and identify oneself. Clichés, stereotypes, amalgams, asserted identities, assigned identities… Is the film about the Palestinian tragedy facing the Belgian futility? More “simply”, in one or the other case, it is about the transformation of a contorted identity into the ability to listen and to discuss.
Sois un Mensch, mon fils" est le portrait d’un homme, acteur et témoin, qui pour tenir la promesse faite à sa mère a dédié sa vie aux combats de l’humain. Le destin de David Susskind se confond avec l’histoire humaniste des grandes luttes du judaïsme des 60 dernières années, le droit à l’existence de l’Etat d’Israël, le droit à la liberté pour les juifs d’URSS, le droit à préserver Auschwitz comme lieu de mémoire de l’humanité, le droit des peuples israélien et palestinien à vivre en paix dans deux états, le droit à l’expression de l’identité juive laïque
De 1942 à 1944, 24.916 Juifs, hommes, femmes et enfants, ont été déportés de Belgique vers Auschwitz. Seuls 1.206 d’entre eux en sont revenus. Une poignée de nazis ont mis en place cette persécution, qui n’a pu avoir lieu qu’avec l’appui inconscient ou volontaire de certaines autorités belges. De nombreux films se sont intéressés au « Pourquoi ? » de ces événements. Modus Operandi s’intéresse au « Comment ? ». C’est notre histoire, à chacun d’entre nous.
- 1
- 2