Mots clés : Poésie
Dom est veilleur de nuit dans une un petit hôtel du Havre. Une nuit, une femme arrive, sang valise, pieds nus. Elle s'appelle Fiona. Elle dit à Dom qu'elle est une fée et lui accorde trois souhaits. Le lendemain, deux vœux sont réalisés, mais Fiona a disparu. Dom est tombé amoureux de cette femme qui lui ouvre les portes d'un monde nouveau, nourri de mystère, de fantaisie et d'amour. Il veut la retrouver...
Un souffle traverse les couloirs des hôpitaux. Tout en douceur, les artistes du "Pont des Arts" offrent des moments d’art au pied des lits. Une touche de couleur, un vent de musique, une bulle de rêve et de poésie, qui permettent de s’échapper pour un temps d’une réalité difficile. L’artiste en hôpital apporte un souffle d’air qui aide les uns à guérir, les autres à travailler. À l’hôpital, comme partout ailleurs, l’art humanise. Mais à l’hôpital, comme partout ailleurs, sa survie est menacée. Dans un monde où tout est calculé, monnayé, pesé, comment justifier son utilité ? Dans ces conditions difficiles, qu’est ce qui fait qu’un artiste continue de s’investir dans ce partage au lieu de se replier sur lui-même et sa création ?
« Le champ des visions » est un film qui aborde le rapport de l'homme à l'animal-insecte par le biais de récits, de légendes, de souvenirs, de sensations intimes … Et qui soulève des questions: Pourquoi ce monde animal exerce-t-il sur nous un tel pouvoir de fascination ou de répulsion ? Que nous apprend-t-il sur nous-mêmes et nos sociétés ? Notre monde perçu avec nos aptitudes sensorielles a-t-il quelque chose à voir avec celui de l'animal ? L'homme peut-il connaître l'animal-insecte ou seulement le rêver ?
Une main apparaît, posée sur une feuille blanche, un crayon entre les doigts. Entraînée par un son, elle trace une ligne d’horizon puis disparaît du cadre. Le trait s’anime et devient paysage. Un voyage commence comme une respiration à la rencontre de quatre personnages : un flûtiste, un alpiniste, une sculptrice, un médecin urgentiste, tous habités par le souffle et le vent. Leurs histoires se croisent pour ne former qu’un seul poème fait de papier, de crayons, de fusains, où tout s’invente sur l’espace de la feuille.