Mots clés : Témoignage
Viet Nam entre 1961 et 1975 n’a pas seulement
provoqué la mort de 4 à 5 millions de personnes,
cette guerre continue son travail de destruction à
cause de la dioxine (agent orange) épandue par les
troupes US pour détruire les forêts, les cultures et
les populations. Des milliers d’enfants monstrueux
ou handicapés naissent chaque année et personne
ne peut dire quand cessera la contamination
d’une population innocente. Les États-Unis sont
responsables de crimes de guerre et de crimes
contre l’humanité. En parallèle aux témoignages,
Jean-Marc Turine lit une lettre qu’il destine à une
jeune fille victime innocente de la dioxine, Liên.
Ça prend du temps de grandir. Et parfois même on se demande si cela en vaut vraiment la peine… Alors les enfants avancent doucement, à leur rythme, le temps d’apprivoiser le monde qui les attend. Sur le chemin, ils se posent des questions et s’inventent des réponses en utilisant leur imagination débordante.
Ada a 19 ans. Elle accepte d'aller dîner chez un type qu’elle connaît. Tout va très vite, elle ne se défend pas. Son sexe est déchiré, son esprit diffracté. Malgré ça, ou à cause de ça, elle retourne seule, à deux reprises, se confronter à cet homme. Son récit se mélange à ceux d'autres, tous différents et pourtant semblables. La même sale histoire, insensée et banale.
Cinq personnes étrangères à la justice se retrouvent liées malgré-elles par un procès d'assises. C'est au cours des suspensions de l'audience qu'ils exprimeront leurs réactions.
Des migrants racontent leur parcours et leur arrivée dans un pays inconnu, dont ils ne connaissaient pas ou peu la langue, ni les procédures administratives…