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Depuis longtemps, au cours de ses voyages et de ses tournages, Marion Hänsel a été fascinée par les nuages qu’elle contemplait, photographiait, filmait parfois.
Cette matière de songes lui a donné l’idée très simple et audacieuse à la fois de consacrer aux nuages un long métrage qui n’aurait d’autre prétention que de faire rêver le spectateur.
Le film prend appui sur des lettres écrites à son fils depuis sa conception. Lettres d’amour qui rythment le film de petites touches intimes, tendres, douloureuses et heureuses.
Comment le silence peut soudain paraître lourd et plein de menaces? Comment les arbres et la nature toute entière peuvent soudain évoquer la mort, le sang, la grande et la petite histoire ?
Comment le présent évoque le passé ?
Comment ce passé peut par bouffées venir vous hanter au détour d’un champ de coton vide, d’une route, d’un geste ou d’un regard ?
Le Tour de France. Des fidèles en haute montagne, Une étape qui approche, Des virages de camping-cars, La grand-messe va commencer
2039 : depuis plus de trois ans, Adèle travaille pour ORBIT DEFENCE, une station spatiale chargée du pilotage de drones sur la planète Terre. Aujourd'hui, tenant entre ses mains des joysticks, il ne lui reste plus qu’une mission de routine à accomplir avant de rejoindre enfin sa famille. À moins qu’un grain de sable ne fasse basculer son destin.
Pendant six mois, trente jeunes bruxellois participent au concours Eloquentia et se forment à l’art oratoire pour oser élever leur voix en public. Au milieu d’eux, Kassy, Nael, Esther se frayent un chemin. Leurs mots s’enchaînent, se délient. Résistent parfois aussi. De ces manquements à la parole une autre voix émerge et les rapproche chaque jour un peu plus près d’eux-mêmes.
Comment filmer sa propre mort ? Comment la mettre en scène ?
Au premier abord cela peut faire sourire et pourtant cette question concerne tout un chacun, même si l’on n’est pas cinéaste.
Arrivé à un âge où l’on commence à faire ses valises pour l’au-delà, je me prépare à brûler ma vie, à jeter ce que j’ai collectionné et accumulé pendant plus d’un demi-siècle. Les livres, les vêtements, les films, tout doit, tout va disparaître, en cendres et en fumée.
Éteindre son smartphone pendant 24 heures. C’est ce qui a été demandé à un groupe d’adolescents d’horizons divers, réunis à la campagne pour interroger leur rapport au sommeil et à la connectivité. Chacun à leur manière, ils ont tenté de poser un regard et un constat personnel sur le sujet. Les réactions ne se sont pas fait attendre...