Mots clés : Femme
Ce film est une plongée exceptionnelle dans la vie d'après, celle d'une ex- djihadiste belge qui a purgé une peine de prison en Belgique pour avoir rejoint Raqqah et l'État islamique en 2015.
Dans ce document inédit, elle a accepté de témoigner à visage découvert. Safia Kessas, fidèle à son cinéma brut et sans commentaires, a suivi la jeune femme durant près de trois ans, y compris dans les salles de prétoire. Agée de 30 ans, cette ex-djihadiste est également poursuivie pour enlèvement d'enfant car dans son voyage vers la Syrie, elle a emmené sa fille, alors âgée de 5 ans. Elle tente aujourd'hui de réparer ses erreurs et essaie de retrouver le cours d'une vie "normale". Elle dit tout mettre en œuvre pour retrouver son rôle de mère.
Comment est-elle encadrée par les structures judiciaires, quelles sont les conditions de libération auxquelles elle doit se soumettre, comment les institutions de la jeunesse l'accompagnent dans le retissage du lien avec sa fille ? Quel regard porte-t-elle sur son passé de djihadiste et comment s'est-elle désengagée de la radicalisation violente ?
Ce document rare aborde toutes ces questions.
Christophe Hermans participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Manuela, Stéphanie, Anita, Nicole et Madeleine. 5 femmes qui, pour des raisons différentes, ont perdu leurs cheveux et fait appel aux services de Christel, esthéticienne sociale. Ce film est celui de leur quotidien, de leur combat pour se (re)construire une image et une féminité.
Bruxelles. Dans certains quartiers de la ville, les femmes connaissent très bien un phénomène répandu ici comme ailleurs : elles attirent les regards, même si elles ne le souhaitent pas, puis s’ensuivent les remarques, les propositions, les « compliments », et finalement les insultes. Le film met en scène 4 situations : dans une cité, dans un ascenseur, devant un distributeur automatique et dans un commerce.
Nathalie, bergère dans le Piémont Cévenol, apprend à tuer ses bêtes.
Le film suit les gestes d’une éleveuse qui aime et qui mange ses moutons avec attention. Elle est prise sans relâche dans une interrogation à propos des manières de bien mourir pour ces êtres qui nous font vivre.
Quel goût a la tendresse ?