Mots clés : Maladie
- 1
- 2
Un souffle traverse les couloirs des hôpitaux. Tout en douceur, les artistes du "Pont des Arts" offrent des moments d’art au pied des lits. Une touche de couleur, un vent de musique, une bulle de rêve et de poésie, qui permettent de s’échapper pour un temps d’une réalité difficile. L’artiste en hôpital apporte un souffle d’air qui aide les uns à guérir, les autres à travailler. À l’hôpital, comme partout ailleurs, l’art humanise. Mais à l’hôpital, comme partout ailleurs, sa survie est menacée. Dans un monde où tout est calculé, monnayé, pesé, comment justifier son utilité ? Dans ces conditions difficiles, qu’est ce qui fait qu’un artiste continue de s’investir dans ce partage au lieu de se replier sur lui-même et sa création ?
Franco, Joanna, Audrey, Lia et Philippe, ont tous été frappés par un malaise brutal et inexpliqué lors d’un voyage à Florence, à Paris, ou à Barcelone. Ils témoignent : Que s’est-il passé ? Insolation ? Chute de tension ? Perte de repères ? Une enquête commence... Graziella Magherini, psychiatre à Florence, revient sur les questions qui l’ont obsédée alors qu’elle tentait avec ses patients d’élucider les causes de ce mal contemporain: mal du voyage, trouble lié aux lieux hantés par l’Histoire, PEUR DU BEAU, MAL DE L’ART ? Une enquête mystérieuse, une plongée vertigineuse à la découverte du SYNDROME DE STENDHAL !
Un cabinet de consultation, dans un hôpital public, en Belgique. Un médecin y reçoit des patients : des hommes et des femmes, souvent accompagnés d’un proche. La plupart sont gravement malades, et ils le savent. Ils sont venus pour parler de leur fin de vie. Autant que les circonstances et pour autant que la loi le leur permette, ces patients veulent en effet choisir leur mort. Les dialogues sont francs, intenses, et d’une authenticité bouleversante. Ils sont surtout empreints d’une grande douceur. "Les mots de la fin" donnent à voir ces rencontres, avec discrétion et respect. Le film montre aussi les soignants, dans leurs échanges et leurs questionnements. Une leçon de vie, et d’humanisme...
Christophe Hermans participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Manuela, Stéphanie, Anita, Nicole et Madeleine. 5 femmes qui, pour des raisons différentes, ont perdu leurs cheveux et fait appel aux services de Christel, esthéticienne sociale. Ce film est celui de leur quotidien, de leur combat pour se (re)construire une image et une féminité.
Fleur raconte l’histoire de la maladie de son papa, Zaza, qui perturbe son quotidien et celui de ses frères alors qu’ils essayent de grandir et jouer, comme tout enfant. La maladie est racontée à travers les yeux, et la voix, d’une enfant, montrant un nouvel angle d’une situation fréquente. L’attente d’un papa hospitalisé se révèle perturbante pour des enfants trop jeunes pour tout comprendre.
Une vie démente était sélectionné dans le cadre du Prix des lycéens du Cinéma 2021-2022 et a remporté le Prix !
Alex et Noémie, la trentaine, voudraient avoir un enfant. Mais leurs plans sont chamboulés quand Suzanne, la mère d’Alex, se met à faire de sacrées conneries. C’est parce qu’elle a contracté une « démence sémantique », maladie neurodégénérative qui affecte son comportement. Elle dépense sans compter, rend des visites nocturnes à ses voisins pour manger des tartines, se fabrique un faux permis de conduire avec de la colle et des ciseaux. Suzanne la maman devient Suzanne l’enfant ingérable. Drôle d’école de la parentalité pour Noémie et Alex !
- 1
- 2