Filmographie : Alain STEENHOUDT
Nos coeurs sont vos tombes
Roger BEECKMANS
- BE - 2004 - 00h54min
Dix ans nous séparent du mois d’avril 1994 année du génocide au Rwanda. A Bruxelles au printemps 2001 à l’issue du procès des quatre de Butare » quatre prévenus rwandais sont reconnus coupables de génocide. « Nos cœurs sont vos tombes est un film sur la mémoire, la justice, le temps qui passe et sur une difficile réconciliation souhaitée par le gouvernement
Paroles intimes - Dialogue avec le cancer
Yves DORME
- BE - 2006 - 00h54min
Ce film est un parcours dans l'univers de personnes atteintes d'un cancer. Ce parcours se compose de 3 portraits successifs organisés selon l'évolution possible de la maladie : l'incertitude, la mort annoncée et la rémission. Il s'articule autour d'un seul questionnement : comment vivre avec la présence de la maladie ou sa possible réapparition?
Une leçon de tolérance
Roger BEECKMANS
- BE - 2003 - 00h54min
L’Ecole n°1 est une école primaire, située dans un quartier de Bruxelles à forte population allogène. C’est une école dite à discrimination positive. Une épithète aussi injurieuse qu’infâmante "d’école poubelle" lui colle à la peau. Elle accueille des enfants venus de vingt-trois pays différents. Les enfants belges se comptent sur les doigts de la main. Le directeur est un humaniste. Il mène au quotidien une lutte contre l’exclusion, l’échec et le racisme. Le film suit les événements de l’année scolaire, du jour de la rentrée en septembre 2001 jusqu’à la remise des prix en juin 2002.
Une si longue histoire
Roger BEECKMANS
- BE - 2014 - 01h03min
On les appelle MENAS, Mineurs Etrangers Non Accompagnés. Ils ont fui la guerre, la violence, la misère. En 2013, plus de mille sont venus frapper aux portes de notre pays. Aidés jusqu’à l’âge de 18 ans, rêves, projets, études se brisent quand ils reçoivent l’ordre de quitter le territoire. Une si longue histoire signe le portrait de six jeunes, balancés entre jeux d’enfants, rêves d’adolescents et angoisses d’adultes. Car, à 18 ans, on n’est plus un enfant. Et, sans-papiers, on n’est plus rien. On n’existe plus.