Filmographie : Christian COPPIN
Dans une caserne fantomatique, le Docteur A et l’Infirmier O se cherchent. Ils combattent la nuit avec leurs armes : la gravure sur bois et le cinéma.
“De Lola à Laila” prend pour tremplin le récit personnel de la mère de la réalisatrice, durant les années d’après guerre en Espagne, pour parler peu à peu d’émancipation, de lutte, de mouvement, de grains, de cinéma. D’une génération à l’autre, du passé au présent, d’une mère à sa fille, le film avance aux rythme des vagues et au son d’une pellicule super8, pour faire éclater la vie.
Tu enfanteras dans la douleur. Pourquoi ? Y a-t-il d’autres récits ? Parce que naissance ne rime pas toujours avec douleur, « Histoire d’entrejambes » transmet un nouvel imaginaire qui est le nôtre, celui de femmes qui cheminent vers la réappropriation de leurs corps et de leurs accouchements.
Mohamed Hammam, un calligraphe à la retraite, aime être entouré de gens, discuter, fumer et partager. Il va tous les jours dans son atelier au centre du Caire pour préserver “la jeunesse de son âme”. Lui et ses amis sont observés à travers le prisme des changements qui ébranlent le Caire.
English version
Mohamed Hammam, a retired calligrapher, is a very outgoing person who likes to be surrounded with people, to chat, smoke and share. He goes everyday to hisworkshop in downtown Cairo, to preserve “the youth of his soul”. He and his friends are observed through the prism of changes which rock Cairo.
Je suis perdue. Il est perdu aussi.
Ta mélodie berce mes sens. C’est fou !
Lion, embrasse-moi.
Aller à la rencontre des publics d’un large réseau
associatif, faire l’expérience que l’expression et
la création sont essentiels pour nourrir la vie en
société. Les animateurs créent une démarche
qui libère, proposent des étapes, des appuis,
des outils en réponse à des envies et des besoins
d’expression. L’atelier, c’est construire ensemble
un film, oser la rencontre des personnes et de leur
monde, des cultures et des langages, du réel et
de l’imaginaire. L’aventure est de rejoindre l’autre,
toucher sa nécessité à s’exprimer, réveiller l’élan
de se faire connaître et de révéler sa place dans
la société. Au fil des partages, la dynamique du
groupe devient une force qui donne matière et
mouvement à la création. Le sens est expérimenté
et le langage habité. C’est prendre la liberté de
créer un cinéma qui partage des mondes.
Un portrait jouissif de la pilosité amoureuse.
Séductions, déceptions, fantasmes…