Filmographie : Ella VAN DEN HOVE
Anne Levy-Morelle participe à Cinéastes en Classe. Invitez-la dans votre classe !
Un « casus belli » c’est, littéralement, un motif de guerre. Ce motif peut être essentiel ou futile, et le feu qu’il allume une guerre mondiale ou une querelle de voisinage. Certaines étapes se retrouvent quelle que soit la taille du conflit : incompréhension - interprétations de signes, actes ou paroles - dénigrement - insultes franches ou voilées - escalade. Le feu est plus facile à allumer qu’à éteindre ! Ce film s’intéresse au difficile travail de ramener les humains en discorde à une paix relative. Deux métiers et deux lieux sont explorés : le médiateur de quartier, qui écoute, s’abstient de tout conseil, tâche de faire émerger la solution des parties elles-mêmes et le juge de paix, qui tantôt tranche, tantôt s’efforce de dégager un accord – parfois au forceps. Devant eux, le théâtre de l’humanité, avec ses ruses, ses fanfaronnades, ses manœuvres de séduction, et sa sincérité.
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Un « casus belli » c’est, littéralement, un motif de guerre. Ce motif peut être essentiel ou futile, et le feu qu’il allume une guerre mondiale ou une querelle de voisinage. Certaines étapes se retrouvent quelle que soit la taille du conflit : incompréhension - interprétations de signes, actes ou paroles - dénigrement - insultes franches ou voilées - escalade. Le feu est plus facile à allumer qu’à éteindre ! Ce film s’intéresse au difficile travail de ramener les humains en discorde à une paix relative. Deux métiers et deux lieux sont explorés : le médiateur de quartier, qui écoute, s’abstient de tout conseil, tâche de faire émerger la solution des parties elles-mêmes et le juge de paix, qui tantôt tranche, tantôt s’efforce de dégager un accord – parfois au forceps. Devant eux, le théâtre de l’humanité, avec ses ruses, ses fanfaronnades, ses manœuvres de séduction, et sa sincérité.
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Manneken Pis, l’enfant qui pleut vous entraîne dans une Bruxelles chaleureuse, et parfois tragique. Vous découvrirez l’histoire d’une ville à l’ambition de capitale, qui cache soigneusement ses richesses et sa fierté sous l’apparence dérisoire d’un petit garçon qui fait pipi. Pourquoi ? Au fil de l’enquête entre passé et présent, vous entreverrez ce que recèle ce curieux symbole. Et pourquoi les Bruxellois se vantent … d’être modestes.
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Manneken pis, le garçon qui ne voulait pas être fier est un enquête ludique, policière (avec la complicité d’un véritable commissaire…) et historique sur Manneken Pis. Le célèbre petit bonhomme ne serait pas si petit que ça, puisqu’il cache derrière ses rondeurs toute l’âme d’une ville méconnue, Bruxelles : son désordre harmonieux – sa fausse modestie – ses vieilles cicatrices. Un film indispensable pour comprendre la Belgique. Passée, présente et à venir. Et aimer Bruxelles, la méconnue.
Le film nous invite à parcourir ce bien étrange chemin mené par le Marquis de Wavrin, premier homme blanc à filmer à la fin des années 20, les indiens shuars « réducteurs de tête ». Plus de 6000 mètres d'images tournées entre 1920 et 1938 l'amène à devenir un explorateur et ethnographe reconnu. Grâce à la sauvegarde de ce patrimoine filmique à la Cinémathèque Royale de Belgique, nous découvrons le marquis de Wavrin défenseur et amis des indiens du Haut-Amazone, cinéaste de l'âme.
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Qu' y a-t-il de commun entre une ville médiévale, la vie humaine et un hôpital ?
Voilà trois espaces clos, d'une certaine taille, dans lesquels on entre un jour et dont on sort après un certain temps. Qui comportent des portes discrètes, des passages détournés, des histoires, et aussi des leçons à apprendre. "Sur la pointe du cœur" est un poème épique sur la naissance et la mort, dont le personnage principal est l'hôpital Saint-Pierre, au cœur de Bruxelles. C'est un lieu de voyage, un voyage immobile et pourtant très lointain. La destination porte plusieurs noms : l'autre, l'ailleurs, le mystère, le dragon, le cœur. Elle se résume aussi à cette quête sans âge: comment traverser les murs ?