Filmographie : Laurence VAES
Benoit De Clerck participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Cinq femmes racontent leur histoire « d’amour ». Chacune d’entre elles a vécu un coup de foudre, une merveilleuse rencontre avec l’homme qui deviendra par la suite son bourreau. L’emprise qui s’installe lentement mais fermement. Et puis la violence, protéger ses enfants et fuir. Doucement essayer de se reconstruire, retrouver l’estime de soi et se mettre à l’abri. Ce film nous raconte la chronologie d’un coup de foudre qui mène au drame à travers six histoires.
À Kinshasa, une dizaine de jeunes musiciens percussionnistes anime le quartier populaire de Barumbu. Ce sont les Beta Mbonda, des anciens délinquants issus de gangs violents -les Kulunas-. La musique a donné un nouveau sens à leur vie et a scellé leur amitié. Entre petits boulots et improvisations musicales, ils inventent des rythmes et chantent les difficultés de la vie quotidienne avec un esprit de jeu aux apparences légères. Tel un choeur grec, à partir d'instruments traditionnels ou d'objets banals, leurs chants résonnent dans l'espace de Kinshasa et se font l'écho d'une ville-Monde à la dérive.
Il y a trente-cinq ans, la région couvinoise était le théâtre d’une opposition farouche contre un projet d’implantation de barrage, masse gigantesque aux portes de Couvin. La lutte fut très vive, la résolution des Couvinois, qu’on aurait pu croire endormis, surprit par son dynamisme et sa vigueur. Les Couvinois avaient alors fait preuve d’une détermination, d’une inventivité tout à fait exceptionnelle et l’on venait même de l’étranger observer cette révolte populaire. Elle fut d’autant plus remarquable que l’Etat, devant un rejet aussi massif et une expression populaire aussi large, finit rapidement par suspendre son projet aberrant, puis par y renoncer. Aujourd’hui l’Eau Noire coule toujours paisiblement dans son lit et les «Irréductibles» n’ont pas oublié.