Filmographie : Philippe BAUDHUIN
Chaque semaine, dans trois hôpitaux publics de la région parisienne, une psychologue et deux médecins reçoivent des hommes et des femmes malades de leur travail. Ouvrière à la chaîne, directeur d’agence, aide–soignante, gérante de magasin…Tour à tour, 4 personnes racontent leur souffrance au travail dans le cadre d’un entretien unique. Les trois professionnels spécialisés écoutent et établissent peu à peu la relation entre la souffrance individuelle du patient et les nouvelles formes d’organisation du travail. A travers l’intimité, l’intensité et la vérité de tous ces drames ordinaires pris sur le vif, le film témoigne de la banalisation du mal dans le monde du travail. Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés est un huis clos cinématographique où prend corps et sens une réalité invisible et silencieuse : la souffrance au travail.
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Max Pelleti a tout perdu. Tout. Car ses mains se sont couvertes d'eczéma et son salon de coiffure a été déserté. De fil en aiguille, il se retrouve au commissariat pour un loyer impayé. Il y fait la connaissance de Bobo, un grand garçon simplet, qui se prend d'amitié pour lui. Mais Max n'en a cure, ce qu'il veut c'est retrouver du travail et reconquérir son ex-femme. Mais ses amis lui tournent le dos et il ne lui reste que Bobo... "Un road movie bruxellois, un film de potes dans la lignée de "Western".
Anton, 12 ans, vit avec sa grand-mère dans une petite maison à la périphérie de Moscou. Il partage ses journées d'été avec ses amis et sa babouchka, volontiers complice de ses jeux. L'insouciance de ses vacances disparaît lorsqu'il part, comme la majorité des enfants russes, dans un camp d'entraînement militaire, où on le retrouve en uniforme, l'arme à la main…