Nouveautés
À Bruxelles, les familles avec peu de revenus qui veulent se loger, découvrent rapidement deux réalités : un déficit important de logements sociaux et une augmentation très importante des prix du logement.
Il reste alors pour ces familles deux possibilités : vivre dans un petit logement insalubre et cher ou quitter Bruxelles.
Comment répondre à cette crise du logement ? Et comment éviter que les prix continuent à monter ?
Plusieurs associations bruxelloises ont réfléchi à cette question et ont découvert, aux États-Unis, un système qui pourrait y apporter une réponse : les Community Land Trusts (CLT). Le principe de base des CLT est que le sol doit être utilisé pour répondre aux besoins des habitants, et non pas comme un bien spéculatif.
Je suis perdue. Il est perdu aussi.
Ta mélodie berce mes sens. C’est fou !
Lion, embrasse-moi.
Aller à la rencontre des publics d’un large réseau
associatif, faire l’expérience que l’expression et
la création sont essentiels pour nourrir la vie en
société. Les animateurs créent une démarche
qui libère, proposent des étapes, des appuis,
des outils en réponse à des envies et des besoins
d’expression. L’atelier, c’est construire ensemble
un film, oser la rencontre des personnes et de leur
monde, des cultures et des langages, du réel et
de l’imaginaire. L’aventure est de rejoindre l’autre,
toucher sa nécessité à s’exprimer, réveiller l’élan
de se faire connaître et de révéler sa place dans
la société. Au fil des partages, la dynamique du
groupe devient une force qui donne matière et
mouvement à la création. Le sens est expérimenté
et le langage habité. C’est prendre la liberté de
créer un cinéma qui partage des mondes.
Différentes questions.
Différentes visions de la femme.
Et la force de l’habitude.
Différents jeunes hommes.
Différentes questions.
Différentes visions de la femme.
Et la force de l’habitude.
pour obtenir des accords politiques et atteindre leurs objectifs ?
Comment se fait-il que les accords sur le climat permettent
aux gros pollueurs de déforester allègrement les terres abritant
leurs activités tout en spéculant sur des arbres revendus
à prix d’or sur le marché des crédits carbone ? Pourquoi les populations
locales vivant au bord de l’Amazone se voient-elles
privées de leurs activités de subsistance en échange d’une
compensation dérisoire quand Coca-Cola rase des hectares
à quelques kilomètres de là ? Un système nouveau s’est mis
en place, résultat des négociations peu avouables entre ONG
environnementales et multinationales pollueuses.
Aline, 16 ans, doit faire face à une soudaine absence : son père est incarcéré depuis peu, et refuse de la voir. Elle tente malgré tout de l’atteindre, mais se heurte à sa mère et aux règles pénitentiaires. Pour finalement heurter - au sens propre - un garçon de son âge, en qui elle voit un ultime moyen de se rapprocher de son père.
Au fond des bois, à la tombée de la nuit, les animaux se réunissent dans la Taverne de la forêt pour écouter les fabuleuses histoires du Mulot. Ce petit personnage, insignifiant de prime abord, est en fait la personnalité la plus en vue des bois. Conteur, affabulateur, un peu mythomane, il révèle à chacun des personnages qu’il croise une part insoupçonnée de leur personnalité. Ce soir-là, à travers la forêt et ses ténèbres, le retour à la maison sera beaucoup plus long que prévu.
C’est une histoire vieille comme le monde et pourtant chaque jour plus actuelle. Et chaque jour plus terrible. Il y a des pauvres qui au mépris de leur vie parfois doivent tout quitter pour tenter d’aller survivre, vivre ailleurs. Mais ailleurs on n’en veut pas. Et si on en veut, c’est pour leur force de travail. Travail dont soi même on ne veut plus. Alors on est prêt à payer l’autre pour qu’il le fasse à sa place. A le payer, oui mais mal. Dans ce film-ci, l’ailleurs, c’est l’Amérique du Nord, et les pauvres, sont pour la plupart des Mexicains. Ils sont passés pendant des années par San Diego mais le Service d’Immigration Américain qui se sert des technologies les plus avancées pour les arrêter, technologies inventées pendant la guerre du Vietnam et pleinement utilisées pendant celle contre l’Irak, a réussi à arrêter le flux des illégaux dans cette partie de la Californie et à le déporter dans les régions désertiques et montagneuses de l’Arizona. Là, ils ont cru que les difficultés, les dangers, le froid et la chaleur les arrêteraient. On n’arrête pas quelqu’un qui a faim. Mais on en a peur. Peur de l’autre, peur de sa souillure, peur des maladies qu’il peut apporter avec lui. Peur d’être envahi. Mais on n’a pas peur de le tuer.