Mots clés : Jeune
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Dernière année d’école pour une douzaine de jeunes de l’IPES d’Ath (Belgique). Ils ont entre 17 et 21ans et, dans quelques mois, ils seront prêts à entamer leur vie professionnelle d’agriculteur, de coiffeur, de cuisinier ou de mécanicien. Au-delà des clichés souvent véhiculés sur l’enseignement de qualification, nous allons suivre leur année scolaire de l’intérieur et son lot de réflexions sur la société. Et après l’école, qu’y a-t-il ? Et après la crise, que fait-on ? Regards croisés en trois épisodes de 52 minutes sur un fil en permanence tendu par des jeunes qui n’ont ni leur langue en poche ni de temps à perdre.
Dernière année d’école pour une douzaine de jeunes de l’IPES d’Ath (Belgique). Ils ont entre 17 et 21 ans et, dans quelques mois, ils seront prêts à entamer leur vie professionnelle d’agriculteur, de coiffeur, de cuisinier ou de mécanicien. Au-delà des clichés souvent véhiculés sur l’enseignement de qualification, nous allons suivre leur année scolaire de l’intérieur et son lot de réflexions sur la société. Et après l’école, qu’y a-t-il ? Et après la crise, que fait-on ? Regards croisés en trois épisodes de 52 minutes sur un fil en permanence tendu par des jeunes qui n’ont ni leur langue en poche ni de temps à perdre.
Dernière année d’école pour une douzaine de jeunes de l’IPES d’Ath (Belgique). Ils ont entre 17 et 21 ans et, dans quelques mois, ils seront prêts à entamer leur vie professionnelle d’agriculteur, de coiffeur, de cuisinier ou de mécanicien. Au-delà des clichés
souvent véhiculés sur l’enseignement de qualification, nous allons suivre leur année scolaire de l’intérieur et son lot de réflexions sur la société. Et après l’école, qu’y a-t-il ? Et après la crise, que fait-on ? Regards croisés en trois épisodes de 52 minutes sur un fil en permanence tendu par des jeunes qui n’ont ni leur langue en poche ni de temps à perdre.
Un groupe de jeunes garçons marchent dans des paysages désertiques. L’imaginaire, le rapport au monde et la difficulté d’exister remplissent peu à peu l’espace vide. Ils marchent et leurs univers se déploient. Drôle de pays, c’est peut-être le pays de la psychose.
Faire un film pour parler de mon frère.
Arnaud est devenu un animal enfermé dans une cage dont il garde lui-même la porte fermée.
Tout est flou.
Il erre sans fin.
Quoi de plus banal aux yeux de beaucoup qu’un festival de musique ? Ancré dans la culture populaire depuis Woodstock, ces lieux ne renfermeraient plus que divertissement et culture de masse. Toute contestation a-t-elle disparu de l’ADN de ces évènements ? Ce microcosme, cette ville de 50 000 personnes créée pour 5 jours entièrement dédiés à la jeunesse, la musique et la consommation, n’est-elle pas aussi le reflet de la société, son évolution, ses enjeux, ses dérives … et ses excès ?
À Kinshasa, une dizaine de jeunes musiciens percussionnistes anime le quartier populaire de Barumbu. Ce sont les Beta Mbonda, des anciens délinquants issus de gangs violents -les Kulunas-. La musique a donné un nouveau sens à leur vie et a scellé leur amitié. Entre petits boulots et improvisations musicales, ils inventent des rythmes et chantent les difficultés de la vie quotidienne avec un esprit de jeu aux apparences légères. Tel un choeur grec, à partir d'instruments traditionnels ou d'objets banals, leurs chants résonnent dans l'espace de Kinshasa et se font l'écho d'une ville-Monde à la dérive.
Pendant six mois, trente jeunes bruxellois participent au concours Eloquentia et se forment à l’art oratoire pour oser élever leur voix en public. Au milieu d’eux, Kassy, Nael, Esther se frayent un chemin. Leurs mots s’enchaînent, se délient. Résistent parfois aussi. De ces manquements à la parole une autre voix émerge et les rapproche chaque jour un peu plus près d’eux-mêmes.
C’est un début de vacances de printemps morose pour Makenzie, il erre sans but et observe les habitants de son village. Sa journée prend une tournure plus joviale lors d’une promenade avec sa soeur en pleine nature. La nuit tombe en musique, les deux enfants rigolent jusqu’à l’essoufflement en oubliant la réalité de leur quotidien et la fin des vacances qui approche.
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