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La résistance belge sauva plus de 4000 enfants juifs pendant l’occupation nazie. Le film est construit autour de témoignages de certains de ces résistants et de ceux qui furent ces enfants. Comment plusieurs milliers d’enfants juifs ont-ils pu échapper à la déportation et à l’extermination pendant l’occupation nazie de la Belgique ? Chaque vie sauvée a son histoire. Le film retrace la solidarité qui s’est développée dans la population belge à travers les témoignages de ceux qui ont caché, placé ou aidé les enfants pourchassés, parfois au risque de leur propre vie. Témoignages aussi de ceux qui étaient ces enfants et qui aujourd’hui, racontent...
Marlène Rabaud participe à Cinéastes en Classe. Invitez-la dans votre classe !
En République Démocratique du Congo, dans l'une des régions les plus violentes du monde, des jeunes luttent pacifiquement pour la démocratie. Au fur et à mesure de leur succès, ils vont aussi s'apercevoir que la lutte a un prix. Ils sont La Lucha.
Sois un Mensch, mon fils" est le portrait d’un homme, acteur et témoin, qui pour tenir la promesse faite à sa mère a dédié sa vie aux combats de l’humain. Le destin de David Susskind se confond avec l’histoire humaniste des grandes luttes du judaïsme des 60 dernières années, le droit à l’existence de l’Etat d’Israël, le droit à la liberté pour les juifs d’URSS, le droit à préserver Auschwitz comme lieu de mémoire de l’humanité, le droit des peuples israélien et palestinien à vivre en paix dans deux états, le droit à l’expression de l’identité juive laïque
Frans Masereel est l’une des figures artistiques belges les plus passionnantes du 20e siècle. Son œuvre, essentiellement composée de gravures en noir et blanc, est un cri de révolte contre les tragédies de son temps. Contraint à un exil forcé en raison de ses convictions pacifistes, il incarna aux côtés d’écrivains comme Stefan Zweig et Romain Rolland, le rêve d’une Europe culturelle et fraternelle. À travers une correspondance imaginaire adressée à l’artiste, le film esquisse le portrait d’un homme libre qui, sa vie durant, tenta de s’affranchir des marchands d’Art pour mettre sa création entre toutes les mains.
Le cinéaste Théo Angelopoulos meurt le 24 janvier 2012, renversé par une moto, sur le plateau de tournage de son dernier film. Il était entouré de son équipe dont je faisais partie.
Dans ce film inachevé, il racontait les destins des victimes de la crise grecque. Ironie du sort, les ambulanciers censés le secourir sont tombés en panne, les restrictions budgétaires ne leur permettant plus d’entretenir leurs véhicules. C’est la crise elle-même qui a tué Théo.
Dans une lettre filmée que je lui adresse, je retourne en Grèce. Et la liste des victimes de la crise n’a cessé de s’allonger, cette misère répondant à une autre que Théo avait senti venir : celle de l’arrivée massive de réfugiés qui se retrouvent piégés en Grèce avec la fermeture des frontières.
Pourtant, une résistance citoyenne s’organise chaque jour pour faire sortir de l’ombre ceux qui sont aujourd’hui menacés d’effacement.
Été 2017. Une équipe artistique s'inspire de ces échanges pour créer un opéra en s'imprégnant de la réalité d'un hôpital psychiatrique.
« Je pense qu’il faut raconter le courage tranquille de ces femmes qui ont tout risqué pour sauver des enfants. »
Un simple maillon est un message unique d’humanisme et d’humanité. Le témoignage d’Andrée Geulen raconte l’histoire de 12 femmes, la manière dont elles se sont organisées en Belgique occupée pour sauver des milliers d’enfants.