Filmographie : Michel STEYAERT
Le collectif interroge la crise du logement, sa marchandisation, les actions de résistance et nouvelles configurations, explore des piste de solutions et tente de donner une impulsion positive et engagée face à la crise du logement.
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Andrea, à la recherche de ses racines culturelles, nous invite à rencontrer Zi Giannino, Sabatino et Tonino à travers les campagnes napolitaines. Tous les trois, chanteurs virtuoses des communautés paysannes des alentours du Vésuve, incarnent une tradition musicale d'une vitalité inouïe: la Tammurriata. " J'ai voulu montrer ce qui m’a touché chez ces personnes et qui m’a rendu fort : leur générosité, leur manière d’être, leur plaisir de partager des émotions, cette fantaisie aussi qui les porte à dédramatiser des situations graves. Leur plaisir d’exister avec les autres, en somme, et qu’ils célèbrent dans les fêtes populaires. » Andrea Gagliardi. Ce film nous offre d’entrer dans un monde de sensations, de vibrations qui font le "sel" de la terre. Il rend hommage à ceux qui réussissent à transmettre un bien précieux : la puissance de la fête.
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
« Masarat » : les chemins, les parcours en arabe. C’est aussi le cheminement du réalisateur, Gérard Preszow, qui le mène de Belgique en Palestine, sa judéité bruxelloise en bandoulière. Terre d’exacerbation des questions identitaires, la Palestine oblige chacun à se dire et à se définir. Clichés, stéréotypes, amalgames, identités revendiquées, identités désignées… La tragédie palestinienne face à la futilité belge? Ou, plus « simplement », dans l’un et l’autre cas, la transformation d’une crispation identitaire en la possibilité de l’écoute et de l’échange.
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
“Masarat”: in Arabic, “the paths”, “the itinerary”. It also refers to the progression of the Belgian film director, Gérard Preszow, which drives him from Belgium to Palestine with his Brussels Jewish identity on his back.Land of exacerbated identity questions, Palestine forces everyone to introduce and identify oneself. Clichés, stereotypes, amalgams, asserted identities, assigned identities… Is the film about the Palestinian tragedy facing the Belgian futility? More “simply”, in one or the other case, it is about the transformation of a contorted identity into the ability to listen and to discuss.
Profondément ancrée dans notre société, la norme genrée pose le cadre de la princesse et du chevalier, de la femme et de l’homme et de qui prendra le rôle de qui. Mais cette norme est-elle encore le reflet de notre société ? Nuancée et contrastée, notre imagerie contemporaine propose une multitude de possibilités pour se construire. Cette émission est une plongée dans les méandres du genre vers une émission inclusive !
Anne Levy-Morelle participe à Cinéastes en Classe. Invitez-la dans votre classe !
Un « casus belli » c’est, littéralement, un motif de guerre. Ce motif peut être essentiel ou futile, et le feu qu’il allume une guerre mondiale ou une querelle de voisinage. Certaines étapes se retrouvent quelle que soit la taille du conflit : incompréhension - interprétations de signes, actes ou paroles - dénigrement - insultes franches ou voilées - escalade. Le feu est plus facile à allumer qu’à éteindre ! Ce film s’intéresse au difficile travail de ramener les humains en discorde à une paix relative. Deux métiers et deux lieux sont explorés : le médiateur de quartier, qui écoute, s’abstient de tout conseil, tâche de faire émerger la solution des parties elles-mêmes et le juge de paix, qui tantôt tranche, tantôt s’efforce de dégager un accord – parfois au forceps. Devant eux, le théâtre de l’humanité, avec ses ruses, ses fanfaronnades, ses manœuvres de séduction, et sa sincérité.
Anne Levy-Morelle participe à Cinéastes en Classe. Invitez-la dans votre classe !
Un « casus belli » c’est, littéralement, un motif de guerre. Ce motif peut être essentiel ou futile, et le feu qu’il allume une guerre mondiale ou une querelle de voisinage. Certaines étapes se retrouvent quelle que soit la taille du conflit : incompréhension - interprétations de signes, actes ou paroles - dénigrement - insultes franches ou voilées - escalade. Le feu est plus facile à allumer qu’à éteindre ! Ce film s’intéresse au difficile travail de ramener les humains en discorde à une paix relative. Deux métiers et deux lieux sont explorés : le médiateur de quartier, qui écoute, s’abstient de tout conseil, tâche de faire émerger la solution des parties elles-mêmes et le juge de paix, qui tantôt tranche, tantôt s’efforce de dégager un accord – parfois au forceps. Devant eux, le théâtre de l’humanité, avec ses ruses, ses fanfaronnades, ses manœuvres de séduction, et sa sincérité.
J'ai toujours voulu quitter Charleroi et toujours eu envie de filmer Charleroi - y capter les révolutions du temps. Une ville que je retrouve dans l’entre-deux d'un passé enfoui et d'un avenir qui n’est pas encore. C'est le portrait d’une cité industrielle avec ses effondrements, ses mutations, ses paysages et sa langue. Un film où se côtoient René Magritte, un campement de SDF, les acteurs d'un renouveau, l’inventeur du Big Bang, les Zèbres, le socialisme, les sidérations vécues dans l’enfance… Un va-et-vient à travers différents espaces-temps d'où émergent, à contre-jour, les lumières du Pays noir.