Filmographie : Claudine VAN O
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
C’est l’histoire d’un homme qui grandit au milieu d’images, de sons, de musiques. C’est l’histoire d’un homme ordinaire et singulier qui s’éveille au monde en même temps qu’il rêve à un endroit où habiter. C’est l’histoire d’une maison qui voit l’homme grandir : témoin du temps, mémoire des rencontres, des liens tissés. Les médiathèques sont-elles solubles dans la dématérialisation des supports et le téléchargement ? Il existe de nombreux témoignages sur l’importance que médiathèques et bibliothèques ont joué dans la construction des imaginaires individuels, la curiosité intellectuelle, l’ouverture des émotions, la sensibilité à la diversité culturelle. Ces institutions de prêt public stimulent la créativité. Mais leur action est discrète, diluée au quotidien, elle est rarement démontrée. Elle relève de l’immatériel. Ce film rend hommage à ces relations qui se tissent entre le public et les médiathèques qui sont indispensables à la diffusion du patrimoine culturel dans la société.
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C’est l’histoire d’un homme qui grandit au milieu d’images, de sons, de musiques. C’est l’histoire d’un homme ordinaire et singulier qui s’éveille au monde en même temps qu’il rêve à un endroit où habiter. C’est l’histoire d’une maison qui voit l’homme grandir : témoin du temps, mémoire des rencontres, des liens tissés. Les médiathèques sont-elles solubles dans la dématérialisation des supports et le téléchargement ? Il existe de nombreux témoignages sur l’importance que médiathèques et bibliothèques ont joué dans la construction des imaginaires individuels, la curiosité intellectuelle, l’ouverture des émotions, la sensibilité à la diversité culturelle. Ces institutions de prêt public stimulent la créativité. Mais leur action est discrète, diluée au quotidien, elle est rarement démontrée. Elle relève de l’immatériel. Ce film rend hommage à ces relations qui se tissent entre le public et les médiathèques qui sont indispensables à la diffusion du patrimoine culturel dans la société.
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« Masarat » : les chemins, les parcours en arabe. C’est aussi le cheminement du réalisateur, Gérard Preszow, qui le mène de Belgique en Palestine, sa judéité bruxelloise en bandoulière. Terre d’exacerbation des questions identitaires, la Palestine oblige chacun à se dire et à se définir. Clichés, stéréotypes, amalgames, identités revendiquées, identités désignées… La tragédie palestinienne face à la futilité belge? Ou, plus « simplement », dans l’un et l’autre cas, la transformation d’une crispation identitaire en la possibilité de l’écoute et de l’échange.
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“Masarat”: in Arabic, “the paths”, “the itinerary”. It also refers to the progression of the Belgian film director, Gérard Preszow, which drives him from Belgium to Palestine with his Brussels Jewish identity on his back.Land of exacerbated identity questions, Palestine forces everyone to introduce and identify oneself. Clichés, stereotypes, amalgams, asserted identities, assigned identities… Is the film about the Palestinian tragedy facing the Belgian futility? More “simply”, in one or the other case, it is about the transformation of a contorted identity into the ability to listen and to discuss.
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Threatened with death by ETA, Aritz Arrieta lives under the constant protection of his two bodyguards. Councilor in Mondragon, one of the strongholds of radical Basque nationalism, Aritz running for mayor in the municipal elections of May 2011. « Basque chronicle » plunges us into the life of the young socialist elected and confronts us with a society marked by more than 40 years of terrorism. In October 2011, ETA renounced its "armed activities", without having yet surrendered. While the terrorist organization still has not disappeared, this film traces the outline of the challenges facing the Basque society of tomorrow: the victims of terrorism and the delegitimation of violence.
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Menacé de mort par l’ETA, Aritz Arrieta vit sous la protection permanente de ses 2 gardes du corps. Conseiller municipal à Mondragon, l'un des fiefs du nationalisme radical basque, Aritz brigue le poste de maire lors des élections municipales de mai 2011. Chronique basque nous plonge dans le quotidien de ce jeune élu socialiste et nous confronte à une société marquée par plus de 40 ans de terrorisme. En octobre 2011, l’ETA renonçait à ses « activités armées », sans pour autant avoir encore rendu les armes. Alors que l'organisation terroriste n’a toujours pas disparu, ce film trace les contours des défis qui attendent la société basque de demain: la mémoire des victimes du terrorisme et la dé-légitimation de la violence.
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Sanata et Dicko sont teinturières au Mali. Sanata produit des bazins colorés à Bamako. Dicko vit en brousse au pays dogon et teint des pagnes à l'indigo. Le film nous emmène du village dogon à la grande ville, du sombre indigo accroché aux murs de banco à l'éclat des tissus multicolores pavoisant les rues de Bamako et trace en pointillés la vie quotidienne de ces femmes au savoir-faire remarquable et dont le défi permanent consiste à assurer une vie digne à leurs enfants.