Mots clés : Culture
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
C’est l’histoire d’un homme qui grandit au milieu d’images, de sons, de musiques. C’est l’histoire d’un homme ordinaire et singulier qui s’éveille au monde en même temps qu’il rêve à un endroit où habiter. C’est l’histoire d’une maison qui voit l’homme grandir : témoin du temps, mémoire des rencontres, des liens tissés. Les médiathèques sont-elles solubles dans la dématérialisation des supports et le téléchargement ? Il existe de nombreux témoignages sur l’importance que médiathèques et bibliothèques ont joué dans la construction des imaginaires individuels, la curiosité intellectuelle, l’ouverture des émotions, la sensibilité à la diversité culturelle. Ces institutions de prêt public stimulent la créativité. Mais leur action est discrète, diluée au quotidien, elle est rarement démontrée. Elle relève de l’immatériel. Ce film rend hommage à ces relations qui se tissent entre le public et les médiathèques qui sont indispensables à la diffusion du patrimoine culturel dans la société.
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
C’est l’histoire d’un homme qui grandit au milieu d’images, de sons, de musiques. C’est l’histoire d’un homme ordinaire et singulier qui s’éveille au monde en même temps qu’il rêve à un endroit où habiter. C’est l’histoire d’une maison qui voit l’homme grandir : témoin du temps, mémoire des rencontres, des liens tissés. Les médiathèques sont-elles solubles dans la dématérialisation des supports et le téléchargement ? Il existe de nombreux témoignages sur l’importance que médiathèques et bibliothèques ont joué dans la construction des imaginaires individuels, la curiosité intellectuelle, l’ouverture des émotions, la sensibilité à la diversité culturelle. Ces institutions de prêt public stimulent la créativité. Mais leur action est discrète, diluée au quotidien, elle est rarement démontrée. Elle relève de l’immatériel. Ce film rend hommage à ces relations qui se tissent entre le public et les médiathèques qui sont indispensables à la diffusion du patrimoine culturel dans la société.
Tülin Ozdemir participe à Cinéastes en Classe. Invitez-la dans votre classe !
C'est l'histoire d'une femme d'origine turque sur le chemin de son identité. Un road-movie où, depuis le quartier de son enfance à Bruxelles en passant par la Turquie et jusqu'en Arménie, elle questionne son héritage culturel. Elle y découvre les "AGIT", antique tradition orale où les femmes chantent leurs morts. Ces chants ouvrent un espace de deuil où les femmes turques, kurdes, mais aussi arméniennes absentes de cette terre, peuvent chanter "ensemble" à leurs morts.
Chaque jour, habitués, étudiants et simples visiteurs viennent se réfugier à la Bibliothèque publique d'information, en plein cœur de Paris. Déambulant au milieu de la foule, dans les rayons et dans les marges de la bibliothèque, nous rencontrons des étudiants inspirés, des amateurs éclairés, des solitaires endurcis, des habitués désœuvrés, des artistes enfiévrés... En s'appropriant l'une ou l'autre des milliers de ressources culturelles à leur disposition, chacun « habite » la bibliothèque à sa façon. Et chacun partage avec nous sa manière d'être habité par un texte, une musique ou une vidéo. Espace public pour extases privées, la bibliothèque devient le temple d'une communauté insoupçonnée.
“De Lola à Laila” prend pour tremplin le récit personnel de la mère de la réalisatrice, durant les années d’après guerre en Espagne, pour parler peu à peu d’émancipation, de lutte, de mouvement, de grains, de cinéma. D’une génération à l’autre, du passé au présent, d’une mère à sa fille, le film avance aux rythme des vagues et au son d’une pellicule super8, pour faire éclater la vie.
Le figurant, c’est cette silhouette sans rôle, sans nom et sans voix qui traverse les décors pour que les scènes d’un film paraissent “vraies”. Autant d’archétypes fragmentant le peuple en multiples communautés. Mais qui se cache réellement derrière ces “étiquettes”, quels humains, quelle part d’humanité, quel peuple ?