Noce était sélectionné dans le cadre du Prix des lycéens du Cinéma 2018 et a remporté le Prix !


Magritte 2018 de la meilleure actrice dans un second rôle et des meilleurs costumes.


Zahira, belgo-pakistanaise de dix-huit ans, est très proche de chacun des membres de sa famille jusqu’au jour où on lui impose un mariage traditionnel. Ecartelée entre les exigences de ses parents, son mode de vie occidental et ses aspirations de liberté, la jeune fille compte sur l’aide de son grand frère et confident, Amir.

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Noces (STFR)

de Stephan STREKER - BE - 2016 - 01h38min

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4.3/5

Noces (STFR)

de Stephan STREKER - BE - 2016 - 01h38min

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Noce était sélectionné dans le cadre du Prix des lycéens du Cinéma 2018 et a remporté le Prix !


Magritte 2018 de la meilleure actrice dans un second rôle et des meilleurs costumes.


Zahira, belgo-pakistanaise de dix-huit ans, est très proche de chacun des membres de sa famille jusqu’au jour où on lui impose un mariage traditionnel. Ecartelée entre les exigences de ses parents, son mode de vie occidental et ses aspirations de liberté, la jeune fille compte sur l’aide de son grand frère et confident, Amir.

Contacts Producteur :
Société
Daylight Films
Adresse
Boulevard Barthélémy 20 3ème étage - boite n°3 1000 Bruxelles
Téléphone
+32 (0)2 - 544 05 98
Fax
+32 (0)2 - 544 05 98
Description
Michaël Goldberg
Contacts Distributeur :
Adresse
Chaussée d'Alsemberg, 980 1180 Bruxelles
Téléphone
+32 2 331 64 31
Description
Christian THOMAS
Fernand Denis, La Libre
"Noces" : Stephan Streker met en scène le choc entre la loi du pays et la loi d’une culture
Du rouge. Du rouge. Du rouge. Le carton du générique, le foulard de la fille, la rampe de l’escalier… La couleur est donnée. Enceinte, la jeune Zahira est allée aux renseignements, poussée par Amir, son grand frère qui voudrait qu’elle avorte très vite. Mais elle hésite. Elle sent la vie. "C’est un petit musulman", lui dit-elle. Lire l'article
Stéphanie Lannoy, Madame fait son cinéma
"Noces" de Stephan Streker, Tragédie moderne sur une jeune belgo-pakistanaise écartelée entre les traditions et sa propre vie.
Librement inspiré de faits réels, Noces brise un tabou de nos sociétés en relatant l’histoire d’une jeune femme de 18 ans aux prises avec un mariage forcé. Ce drame familial évoque le poids trop encombrant d’une tradition inadaptée à la vie occidentale d’une jeune femme en baskets dorées qui veut, à juste titre, faire ses propres choix. Elle se retrouve coincée par des traditions communautaires qui, si elle les rejetait, couvriraient de honte toute la famille. Stephan Streker réalise un drame de facture assez classique qui plaira au plus grand nombre. On s’attache à ses personnages qu’il présente dans leur intimité et leurs convictions, sans pour autant les juger. L’amour qui inonde la famille de Zahira jaillit de l’écran pour donner corps à cette tragédie moderne. Le cinéaste a réuni un casting trié sur le volet avec des comédiens éclairés qui nous emmènent dans cette histoire bouleversante. Lire Article
Claudine Levanneur, A voir à lire
Sur fond de tragédie pakistanaise, l’histoire d’une jeune fille qui se croyait libre. Puissant et effrayant !Journaliste avant de devenir cinéaste, le réalisateur belge Stephen Streker a toujours eu à cœur de se pencher, à travers ses films, sur des sujets de société forts. Après Michael Blanco en 2003 et Le monde nous appartient en 2013, pour cette troisième réalisation, il utilise un fait réel pour évoquer avec tact et distance les conséquences dramatiques de la confrontation entre des traditions ancestrales venues d’ailleurs et nos coutumes occidentales. Un sujet sensible que Stephen Streker analyse avec une précision d’orfèvre tout en évitant le moindre parti-pris.Lire Article
Juliette Goudot, Moustique
Noces réconcilie le cinéma d'auteur avec le grand publicDans une ancienne vie, Stephan Streker était critique de cinéma. « Un dreamjob » qui a tout appris à ce cinéaste-journaliste, bruxellois enthousiaste qui fit ses classes en interviewant ses réalisateurs fétiches, de Sergio Leone à Michael Mann ou Francis Coppola (s’illustrant notamment dans votre journal Moustique). Le public de télévision connaît son expressivité affirmée et son regard bleu lagon grâce à son « autre dreamjob », celui de commentateur football sur les antennes de la RTBF. Resté grand cinéphile malgré sa double casquette, ce jeune homme de 52 ans toujours habillé de noir (à part les chaussures flashy) voit un film par jour et révise souvent ses classiques – il vient d’enchaîner Rumble Fish, Wardogs et le dernier Tom Ford, Nocturnal Animal, qui l’a « submergé de beauté ». On l’a rencontré avec son producteur Michaël Goldberg dans un hôtel bruxellois, s’émerveillant à deux devant l’affiche en longueur exposée à l’entrée (« on découvre ce format, c’est magnifique, on adore le logo entrelacé de Noces, créé par le designer de Stromae »), avant de partir pour l’avant-première parisienne d’un film qui couronne plus de vingt ans de collaboration. Rencontrés après un court-métrage (Shadow Boxing - la boxe étant l’autre passion sportive de Stephan), Streker et Goldberg ont depuis tourné ensemble trois long-métrages : l’étonnant Michael Blanco (avec Goldberg dans le rôle d’un acteur qui veut réussir à Los Angeles), le plus sombre La Nuit nous appartient (teinté de surréalisme) et enfin Noces retraçant le destin bouleversant d’une jeune femme qui résiste à un mariage forcé dans une famille pakistanaiseLire l'article
Gorian Delpâture, RTBF
Le journaliste, consultant football et réalisateur Stephan Streker est de retour avec un film percutant, à l’instar de son précédent, "Le Monde nous appartient". Il aborde la question de la place de la femme autour de thèmes d’actualité comme l’intégration et la pression sociale d’une communauté. "Noces", un drame poignant qui révèle la jeune Lina El Arabi aux côtés d’Olivier Gourmet.Lire l'article
Simon Delwart, PointCulture
Modernité versus tradition : l’éternel anachronisme ?De tous temps, la modernité s’est dressée face à la tradition, soit en s’appropriant ses codes pour les réinventer, soit en marquant une scission définitive avec ces derniers. Si Claude Monet s’est contenté de flirter avec la peinture abstraite quand Kasimir Malevitch s’aventurait dans une voie redéfinissant radicalement l’art pictural, tous deux ont en commun d’avoir nourri un désir d’émancipation suffisamment viscéral pour s’extraire des carcans autrefois définis par l’autorité académique. Lire l'Article
Articles du film :
"Noces" : Liberté versus tradition Découvrez des films primés aux Magritte sur Laplateforme.be !

Commentaires (1)

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Lucien Van Acker il y a 4 ans

Le film nous montre la confrontation entre les traditions culturelles et la liberté du choix de vie; avec des conséquences dramatiques pour les personnes impliquées si elles ne savent pas sortir des "obligations". La mise en scène et les interprétations nous emmènent au plus profond du vécu des personnes et nous confronte avec le dilemne fondamental des différentes parties - un parcours très prenant, qui incite une grande empathie avec les différents personnages et une interrogation fondamental par rapport aux difficultés auxquelles les personnes émigrées sont confrontées dans leur vie privée.