Mots clés : Bruxelles
Joël Franka participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
La série nous plonge dans le quotidien des sections professionnelles d’une école à discrimination positive du nord de Bruxelles : l’Athénée Royal Rive Gauche. À travers le quotidien mouvementé de ces jeunes, cette série "en immersion" aborde, sans filtre, de multiples thèmes sociétaux : égalité, exil, famille, violence, harcèlement, vie active, suicide, réseaux sociaux, absentéisme, vie en groupe ...
C’est autour de la palette humaine et sensible qu’elle rassemble le plus, elle parle de reconnaissance, d’estime, de justice, de vulnérabilité, de doute et de convictions... sans langue de bois et souvent avec pas mal d'humour.
A Bruxelles, un groupe de citoyens tâche pendant 5 ans de trouver, financer et réhabiliter un bâtiment qui accueillera des services sanitaires permettant aux plus démunis de « se refaire une beauté et redresser la tête ». Leur parcours du combattant, tant financier qu'administratif, prend les allures d’un film à suspense.
Sous la douche, le ciel donne à voir la transformation d’une idée en réalité, revendiquant la place de l’imagination comme moteur d’action citoyenne face à un horizon politique bouché.
Anne Levy-Morelle participe à Cinéastes en Classe. Invitez-la dans votre classe !
Qu' y a-t-il de commun entre une ville médiévale, la vie humaine et un hôpital ?
Voilà trois espaces clos, d'une certaine taille, dans lesquels on entre un jour et dont on sort après un certain temps. Qui comportent des portes discrètes, des passages détournés, des histoires, et aussi des leçons à apprendre. "Sur la pointe du cœur" est un poème épique sur la naissance et la mort, dont le personnage principal est l'hôpital Saint-Pierre, au cœur de Bruxelles. C'est un lieu de voyage, un voyage immobile et pourtant très lointain. La destination porte plusieurs noms : l'autre, l'ailleurs, le mystère, le dragon, le cœur. Elle se résume aussi à cette quête sans âge: comment traverser les murs ?
Un imposant palace en travaux, le Musée Royal d'Afrique Centrale en Belgique.
Au sommet des piliers, le grand “L” du Roi Léopold II, fondateur de ce musée et considéré comme un des génocidaires du 20e siècle...
On entend une voix africaine, qui hante ces lieux... Le musée va-t-il enfin raconter la vérité à propos de la colonisation belge ? Prendra-t-il en considération la restitution de cet héritage au Congo ou arrivera-t-il à un accord avec le nouveau Musée National du Congo à Kinshasa et aussi par exemple le Musée des Civilisations Noires à Dakar au Sénégal ?
D'autres musées en Europe et en Afrique vont-ils se confronter à cette question ?