Filmographie : Miléna Trivier
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
C’est l’histoire d’un homme qui grandit au milieu d’images, de sons, de musiques. C’est l’histoire d’un homme ordinaire et singulier qui s’éveille au monde en même temps qu’il rêve à un endroit où habiter. C’est l’histoire d’une maison qui voit l’homme grandir : témoin du temps, mémoire des rencontres, des liens tissés. Les médiathèques sont-elles solubles dans la dématérialisation des supports et le téléchargement ? Il existe de nombreux témoignages sur l’importance que médiathèques et bibliothèques ont joué dans la construction des imaginaires individuels, la curiosité intellectuelle, l’ouverture des émotions, la sensibilité à la diversité culturelle. Ces institutions de prêt public stimulent la créativité. Mais leur action est discrète, diluée au quotidien, elle est rarement démontrée. Elle relève de l’immatériel. Ce film rend hommage à ces relations qui se tissent entre le public et les médiathèques qui sont indispensables à la diffusion du patrimoine culturel dans la société.
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C’est l’histoire d’un homme qui grandit au milieu d’images, de sons, de musiques. C’est l’histoire d’un homme ordinaire et singulier qui s’éveille au monde en même temps qu’il rêve à un endroit où habiter. C’est l’histoire d’une maison qui voit l’homme grandir : témoin du temps, mémoire des rencontres, des liens tissés. Les médiathèques sont-elles solubles dans la dématérialisation des supports et le téléchargement ? Il existe de nombreux témoignages sur l’importance que médiathèques et bibliothèques ont joué dans la construction des imaginaires individuels, la curiosité intellectuelle, l’ouverture des émotions, la sensibilité à la diversité culturelle. Ces institutions de prêt public stimulent la créativité. Mais leur action est discrète, diluée au quotidien, elle est rarement démontrée. Elle relève de l’immatériel. Ce film rend hommage à ces relations qui se tissent entre le public et les médiathèques qui sont indispensables à la diffusion du patrimoine culturel dans la société.
Algorithms of Beauty est une lettre adressée à une botaniste du 18e siècle par une cinéaste du 21e.
La botaniste créait des mosaïques florales avec du tissu tandis que la cinéaste fabrique des mosaïques d’images à l’aide des algorithmes d’une Intelligence artificielle.
Au fil de ses expériences, la cinéaste relate les succès et les échecs de fabrication de ses images. Inspirée par la botaniste, elle tente de s’approprier et de réinventer les modes de représentation qui sont à sa portée.
Algorithms of Beauty questionne les limites de notre regard, à travers une approche sensible de notre rapport à l’image, entre technologie et émotions.
Que reste-t-il de l’enfance dans l’adulte que nous devenons ? J’entame un voyage sans nostalgie au cœur des réminiscences de l’enfance. Je me laisse guider par les souvenirs. De cette expérience (re)naissent des images et des sons : paysages enneigés, chants, jouets poussiéreux, visages, murmures, jeux, autant de fragments, flous ou éblouissants, peuplant mon voyage.
Qui n’a jamais rêvé d’avoir une œuvre d’art dans son salon ? Le Musée d’Ixelles, fermé pour travaux, propose à ses voisins d’accueillir une œuvre. Le temps d’un week-end, leur « chez soi » devient musée. Une caméra se faufile dans les coulisses de cette audacieuse initiative. "Musée, comme chez soi" réinvente notre relation à l’art et au musée.