adaptation en BD aux éditions Dupuis.

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Les larmes du seigneur afghan

de Pascale Bourgaux - BE - 2011 - 00h58min

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3/5

Les larmes du seigneur afghan

de Pascale Bourgaux - BE - 2011 - 00h58min

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Pendant dix ans, j'ai filmé Mamour Hasan, un seigneur de guerre du nord de l'Afghanistan, sa famille et son village. En 2001, ce chef de guerre local a mis son armée personnelle au service du célèbre commandant Massoud. Ensemble, leurs troupes ont combattu les Talibans. Aujourd'hui, dix ans plus tard, le village est sur le point de basculer dans le camp taliban. Une grande partie des anciens combattants, de la famille de Mamour Hasan et même son fils aîné rejettent la présence occidentale et soutiennent les Talibans. Comment, dans ce bastion de la résistance anti-talibane, en est-on arrivé là ?


Découvrir l'adaptation en BD aux éditions Dupuis.

Equipe du film :
Réalisation
Pascale Bourgaux
Musique originale
Pierre Gillet
Contacts Producteur :
Société
Iota Production
Adresse
7, clos des Pommiers B-1310 La Hulpe
Site internet
www.iotaproduction.com
Téléphone
+ 32 2 - 344 65 31
Fax
+ 32 2 - 346 63 04
Description
Isabelle TRUC
Karin Tshidimba, La Libre
Les accents belges ne manquent pas cette année au Fipa. Outre Marco Lamensch et Jean Libon, récompensés par un EuroFipa d’honneur ce jeudi soir, pour “leur contribution à une télévision créative et impertinente” ; d’autres concepteurs sortent du lot dans les catégories-phares de festival. Citons Kenneth Michiels avec “Eenentwintig + zeven” et Steve Thielemans avec “L’île déserte”, sélectionnés dans la compétition “Documentaires”. Jan Eelen concourt avec la série “De ronde”, une production Woestijnvis, et Pascale Bourgaux est sélectionnée dans la catégorie “Grands reportages” avec son film “Les larmes du seigneur afghan”.Une grande joie pour celle qui avoue avoir terminé le montage de son film à l’arraché, grâce au soutien de son coproducteur Iota Production, après une période mouvementée, et un voyage non autorisé (en Libye) qui lui a valu d’être mise en congé par son employeur, la RTBF. “A l’époque, je n’ai pas fait tout comme il faut, c’est sûr. Je reconnais mes erreurs, tout comme je tiens à souligner que ce documentaire n’existerait pas sans la RTBF. En 2001, c’est elle qui m’a envoyée en Afghanistan pour couvrir la guerre. C’est là que j’ai rencontré Mamour Hasan, seigneur de guerre. Je me suis installée chez lui, dans sa maison, proche du front. Ce film est un regard belge sur un petit village situé en zone de surveillance belgo-allemande, durant les dix années écoulées.”Lire Article

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