Mots clés : Religion
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Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Ancré en Polynésie, au cœur du Pacifique sud, ce film vagabond traverse les frontières et les siècles pour explorer le temps et ses représentations. Surgissent une constellation d’histoires où se rencontrent les sciences d’aujourd’hui et les mythes d’hier, la politique et la poésie, les rêves et l’histoire. Il se pourrait bien qu’à la fin du voyage, le temps ne soit plus du tout ce qu’il semble être.
L’intégriste n’aime pas la vie. Pour lui, il s’agit d’un éloignement de Dieu et du paradis céleste, avec ses fleuves de lait au goût inaltérable, ses rivières de vin, ses délices et ses vierges. La vie est le produit d’une anarchie et cette anarchie est l’œuvre de l’ARTISTE. L’islamiste en veut à l’artiste qui donne vie à la matière et éloigne les bonnes âmes du paradis par des idées malsaines, un dessin diabolique, un chant envoûtant, une danse maléfique…L’artiste est donc le diable et pour pouvoir le tuer, l’intégriste le déclare ennemi d’Allah.
En mêlant archives rares, témoignages d’artistes et mise en lumière de la haine intégriste envers les artistes, « Au temps où les arabes dansaient » retrace le parcours épineux des artistes arabo-musulmans dans ce siècle du fascisme islamique.
Sabri est parti combattre en Syrie. Sa famille s’est retrouvée seule face à cette absence insoutenable et soudaine. Saliha, sa mère, a décidé de ne pas se taire. Son histoire croise celles d’autres parents qui s’unissent, et luttent contre l’endoctrinement des jeunes par les réseaux jihadistes.
Le film commence par une image noire, une expérience conceptuelle qui se transforme en un essai personnel et subtil de la réalisatrice. Ce court métrage raconte l’histoire d’un missionnaire tombé amoureux d’une fille rwandaise, se métamorphosant petite à petit en une réflexion personnelle mise en images par leur fille.
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