Nouveautés
Anne Levy-Morelle participe à Cinéastes en Classe. Invitez-la dans votre classe !
Un « casus belli » c’est, littéralement, un motif de guerre. Ce motif peut être essentiel ou futile, et le feu qu’il allume une guerre mondiale ou une querelle de voisinage. Certaines étapes se retrouvent quelle que soit la taille du conflit : incompréhension - interprétations de signes, actes ou paroles - dénigrement - insultes franches ou voilées - escalade. Le feu est plus facile à allumer qu’à éteindre ! Ce film s’intéresse au difficile travail de ramener les humains en discorde à une paix relative. Deux métiers et deux lieux sont explorés : le médiateur de quartier, qui écoute, s’abstient de tout conseil, tâche de faire émerger la solution des parties elles-mêmes et le juge de paix, qui tantôt tranche, tantôt s’efforce de dégager un accord – parfois au forceps. Devant eux, le théâtre de l’humanité, avec ses ruses, ses fanfaronnades, ses manœuvres de séduction, et sa sincérité.
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
C’est l’histoire d’un homme qui grandit au milieu d’images, de sons, de musiques. C’est l’histoire d’un homme ordinaire et singulier qui s’éveille au monde en même temps qu’il rêve à un endroit où habiter. C’est l’histoire d’une maison qui voit l’homme grandir : témoin du temps, mémoire des rencontres, des liens tissés. Les médiathèques sont-elles solubles dans la dématérialisation des supports et le téléchargement ? Il existe de nombreux témoignages sur l’importance que médiathèques et bibliothèques ont joué dans la construction des imaginaires individuels, la curiosité intellectuelle, l’ouverture des émotions, la sensibilité à la diversité culturelle. Ces institutions de prêt public stimulent la créativité. Mais leur action est discrète, diluée au quotidien, elle est rarement démontrée. Elle relève de l’immatériel. Ce film rend hommage à ces relations qui se tissent entre le public et les médiathèques qui sont indispensables à la diffusion du patrimoine culturel dans la société.
Céline Charlier participe à Cinéastes en Classe. Invitez-la dans votre classe !
Le Rock (and Roll) n'est pas seulement une musique populaire, une littérature, une danse, une culture de masse, une mode, une industrie, un art de l'image, un poncif, un cirque débile, une pose, un cri, une fausse attitude publicitaire... Il est tout cela à la fois... mais il reste, encore et toujours dans son ADN, une manière de dire non ! Curieusement, le label Rock dont on nous affirme depuis des décennies qu'il est récupéré (ou carrément mort), assujetti au commerce, accepté par l’establishment, reste un synonyme de révolte. Cette musique née aux États-Unis, cette chose qui faisait remuer les bassins en bousculant les consciences, qui fit la nique aux puritains, au conservatisme, qui n'acceptait plus les normes imposées, ce concentré brut d’énergie adolescente vecteur de nouveaux rêves, sont-ils possiblement les éléments déclencheurs d'une révolution pour un monde plus humain, moins centré sur un capitalisme sans scrupules ? Pour répondre à cette interrogation, il faut s'en poser d'autres : le Rock (and Roll) a-t-il été réellement révolutionnaire ? Et, si oui... pour qui et comment ? Son statut de culture mainstream est-il le Xanax du subversif...?
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
C’est l’histoire d’un homme qui grandit au milieu d’images, de sons, de musiques. C’est l’histoire d’un homme ordinaire et singulier qui s’éveille au monde en même temps qu’il rêve à un endroit où habiter. C’est l’histoire d’une maison qui voit l’homme grandir : témoin du temps, mémoire des rencontres, des liens tissés. Les médiathèques sont-elles solubles dans la dématérialisation des supports et le téléchargement ? Il existe de nombreux témoignages sur l’importance que médiathèques et bibliothèques ont joué dans la construction des imaginaires individuels, la curiosité intellectuelle, l’ouverture des émotions, la sensibilité à la diversité culturelle. Ces institutions de prêt public stimulent la créativité. Mais leur action est discrète, diluée au quotidien, elle est rarement démontrée. Elle relève de l’immatériel. Ce film rend hommage à ces relations qui se tissent entre le public et les médiathèques qui sont indispensables à la diffusion du patrimoine culturel dans la société.
Dans le 1er volet, Les murs de Dinant, sept "témoins" se souviennent des grands massacres de civils des 23, 24, 25 août 14, commis dans la ville par les troupes allemandes. Ils sont les descendants des familles victimes, ils racontent leur histoire familiale broyée par la tragédie, un héritage qui passe de génération en génération. Leurs récits révèlent les traces profondes que ces crimes contre l'humanité ont laissées, d'autant plus vives qu'aucune justice n'a sanctionné les coupables. Longtemps, la légende des francs-tireurs belges a servi de justification aux autorités et aux historiens allemands. A Dinant, une délégation officielle allemande a reconnu les faits en 2001 et demandé le pardon, mettant un terme au ressentiment, mais la mémoire douloureuse persiste.