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Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Threatened with death by ETA, Aritz Arrieta lives under the constant protection of his two bodyguards. Councilor in Mondragon, one of the strongholds of radical Basque nationalism, Aritz running for mayor in the municipal elections of May 2011. « Basque chronicle » plunges us into the life of the young socialist elected and confronts us with a society marked by more than 40 years of terrorism. In October 2011, ETA renounced its "armed activities", without having yet surrendered. While the terrorist organization still has not disappeared, this film traces the outline of the challenges facing the Basque society of tomorrow: the victims of terrorism and the delegitimation of violence.
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Menacé de mort par l’ETA, Aritz Arrieta vit sous la protection permanente de ses 2 gardes du corps. Conseiller municipal à Mondragon, l'un des fiefs du nationalisme radical basque, Aritz brigue le poste de maire lors des élections municipales de mai 2011. Chronique basque nous plonge dans le quotidien de ce jeune élu socialiste et nous confronte à une société marquée par plus de 40 ans de terrorisme. En octobre 2011, l’ETA renonçait à ses « activités armées », sans pour autant avoir encore rendu les armes. Alors que l'organisation terroriste n’a toujours pas disparu, ce film trace les contours des défis qui attendent la société basque de demain: la mémoire des victimes du terrorisme et la dé-légitimation de la violence.
Maxime Coton participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Andrea, à la recherche de ses racines culturelles, nous invite à rencontrer Zi Giannino, Sabatino et Tonino à travers les campagnes napolitaines. Tous les trois, chanteurs virtuoses des communautés paysannes des alentours du Vésuve, incarnent une tradition musicale d'une vitalité inouïe: la Tammurriata. " J'ai voulu montrer ce qui m’a touché chez ces personnes et qui m’a rendu fort : leur générosité, leur manière d’être, leur plaisir de partager des émotions, cette fantaisie aussi qui les porte à dédramatiser des situations graves. Leur plaisir d’exister avec les autres, en somme, et qu’ils célèbrent dans les fêtes populaires. » Andrea Gagliardi. Ce film nous offre d’entrer dans un monde de sensations, de vibrations qui font le "sel" de la terre. Il rend hommage à ceux qui réussissent à transmettre un bien précieux : la puissance de la fête.
Benoit De Clerck participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
En wolof “dem dikk” signifie aller retour. C’est aussi le nom des bus qui sillonnent Dakar. D’un groupe de jeunes Dakarois, pris entre petits boulots et débrouilles, se détache Pape Diop. Pape qui met un point d’honneur à ne pas être “dans la théorie”, qui refuse de devenir un “blanc raté”, qui arrive à faire de son mode de survie une revendication... lui, “l’ambassadeur de tous ceux qui n’ont jamais eu la chance de partir”. Au fil des confrontations entre Pape et la réalisatrice venue d’Europe, l’inégalité tranchante apparaît et avec elle le ressac d’une politique migratoire basée sur l’exclusion.
Benoit De Clerck participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
In Wolof “dem dikk” means return ticket. It is also the name of the buses criss-crossing Dakar. From among a group of Dakar youngsters, caught in the trap between casual labour and somehow scraping by, emerges Pape Diop. Pape, who makes it a point of honour not to be one of those “intellectuals”, who refuses to “act white”, who manages to make his way of surviving into an assertion … he who is the “ambassador for all those who never had the chance to leave.” In the course of encounters between Pape and the female director from Europe, the acute inequality is apparent and with it the undertow of a migration policy based on exclusion.