Mots clés : Bruxelles
À Bruxelles, des témoins racontent leurs expériences autour de la violence policière. À travers leurs paroles, leurs sentiments et leurs vécus, leurs récits dressent un portrait de la lutte contre les discriminations qu’ils subissent.
Le parcours migratoire de Sabine commence au Cameroun dans les agences de recrutement pour femme de ménage au Liban. Sabine séjourne au Liban où elle est réduite en quasi esclavage. Elle quitte le Liban pour la Belgique. Elle arrive au quartier Matongé à Bruxelles où elle est gérante d'un salon de coiffure en attendant que sa situation se régularise. Dans ce salon de 8m2, Sabine et les autres coiffeuses s'organisent et s'entraident pour faire face à la clandestinité. Elles travaillent 13 à 14 heures par jour sous la menace de la police qui patrouille et le regard des touristes de tous âges qui les regardent et les photographient comme des objets en vitrine.
Le film est un voyage. C'est mon départ pour toujours, mon aventure dans la ville de Bruxelles. Mon regard sur une ville singulière qui a une beauté cachée. Une ville où il pleut presque tout le temps, une ville dont on ne peut avoir au premier abord qu'une image triste.
Ce film c'est aussi... L'histoire de Clémente, Fati et Angelo. C'est notre rencontre.
Partir pour toujours ? Ça fait mal.
Chacun à ses raisons d'être parti, chacun a des rêves à accomplir.
Selon un sondage, 86% des structures jeunesse de la région Bruxelles-Capitale considèrent la participation active des jeunes dans la mise en place de projets nécessaire. Ce sondage révèle, en parallèle, le manque d’outils mis à disposition des travailleurs sociaux de ces mêmes structures. Face à ce constat, des jeunes et des travailleurs sociaux se sont réunis pour questionner la participation des jeunes à la vie de la cité. Le film propose quelques outils pour passer à l'action selon les désirs d'engagement de chacun. Une initiative Jeune et Citoyen, CVB, MJ Sémaphore et MJ Centre nerveux.
Printemps 2012. Dédée, prostituée en vitrine à Bruxelles depuis plus de 30 ans, revient – avec humour, intelligence et franchise – sur son histoire de vie peu commune depuis ses débuts précoces, où elle se découvrit la « putasserie dans l’âme », au grand étonnement de ses proches…
Philippe De Pierpont participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Une péniche rouillée, un tram, une impasse, un banc, un cimetière, une statue... Tendant un fil rouge entre une dizaine de lieux secrets ou intimes, Philippe de Pierpont dresse une topographie kaléidoscopique de Bruxelles. Par sa qualité d'écoute, la parole de ses onze interlocuteurs trouve à chaque fois la place qui lui revient, dans le film comme dans la ville. Les petites histoires de chacun rentrent en vibration avec les grandes questions de tous: la naissance, la mort, l'amour, la liberté, la différence ou la solitude. Une image assez convaincante de Bruxelles - comme puzzle collectif de territoires affectifs individuels - apparaît: celui d'une ville à la fois déchirante et réconfortante, où chacun essaye de s'aménager, au milieu des autres, sa petite parcelle de bonheur.
À Bruxelles, les familles avec peu de revenus qui veulent se loger, découvrent rapidement deux réalités : un déficit important de logements sociaux et une augmentation très importante des prix du logement.
Il reste alors pour ces familles deux possibilités : vivre dans un petit logement insalubre et cher ou quitter Bruxelles.
Comment répondre à cette crise du logement ? Et comment éviter que les prix continuent à monter ?
Plusieurs associations bruxelloises ont réfléchi à cette question et ont découvert, aux États-Unis, un système qui pourrait y apporter une réponse : les Community Land Trusts (CLT). Le principe de base des CLT est que le sol doit être utilisé pour répondre aux besoins des habitants, et non pas comme un bien spéculatif.
Ayant quitté leur ville natale en Belgique ou leur pays d'origine, des personnages traversent Bruxelles à la recherche d'un logement. Ils rencontrent refus, humiliations et escroqueries… De cette injustice vécue, naît l'idée de prendre la démocratie au sérieux en créant leur parti politique pour défendre le droit au logement pour tous. Ils sont loin de soupçonner le succès que le parti va connaître…
Géraldine Doignon participe à Cinéastes en Classe. Invitez-la dans votre classe !
Dan croyait que la nostalgie, c’était un truc de vieux. Il avait tort. A 34 ans, il est déjà nostalgique de ses années d’insouciance où il ne se posait pas de questions. Est-ce qu’il vivra à Bruxelles toute sa vie? Est-ce qu’il sait pourquoi il aime Lise? Est-ce que vieillir, c’est faire le tri et savoir répondre aux questions? A travers les petits moments de sa vie, Dan nous parle de lui.