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Une vie contre l'oubli

de Jérôme LAFFONT , Kita BAUCHET - BE - 0 - 01h07min

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Une vie contre l'oubli

de Jérôme LAFFONT , Kita BAUCHET - BE - 0 - 01h07min

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André Dartevelle, journaliste et réalisateur belge, a construit pendant plus de 40 ans une œuvre "en résistance", donnant inlassablement la parole aux opprimés. Témoin des conflits du monde, attaché aux questions de société en Belgique et plus généralement au travail de mémoire, il aura mis en lumière les grands combats sociaux et politiques de son temps. A travers son témoignage et celui de ses collaborateurs, il revient avec force sur les moments clés de notre histoire contemporaine.

Contacts Producteur :
Société
Dérives asbl
Adresse
36, rue de Mulhouse B-4020 Liège
Site internet
www.derives.be
Téléphone
+32 4 - 342 49 39
Fax
+32 4 - 342 66 98
Description
Julie FRERES
Adresse
19F, Avenue des Arts B-1000 Bruxelles
Site internet
www.cbadoc.be
Téléphone
+32 2 - 227 22 30
Fax
+32 2 - 227 22 39
Description
Javier PACKER COMYN
Société
Dérives
Société
RTBF
AU.M., La Libre
L’œuvre en résistance de DartevelleKita Bauchet signe un film fort et sensible sur le réalisateur belge.Janvier 2014. Ça fait deux mois que je rencontre régulièrement le réalisateur André Dartevelle, indique d’emblée Kita Bauchet dans André Dartevelle, une vie contre l’oubli (film documentaire consacré au cinéaste et journaliste belge, décédé en mars 2015). Il a septante ans. La maladie le ronge et le maintient paralysé. Pourtant, patiemment, il accepte de me faire partager sa carrière, de dérouler le fil ténu de la création jusqu’à ce jour de mars où le cancer met fin à nos rendez-vous de travail. La mort vient de l’emporter. Ce film, je l’ai poursuivi seule. Enfin, non… Pas vraiment. Restaient nos entretiens, ses compagnons de travail et ses films." Et quels films !Lire l'Article
Serge Meurant, Cinergie.be
Le film de Kita Bauchet a été tourné dans l’urgence des derniers mois de la vie d’André Dartevelle, pendant lesquels le réalisateur dictait ses Mémoires (1). Il constitue, comme le souhaitait celui-ci, l’héritage et la mémoire filmée d’une partie de son œuvre. Le livre et le film sont complémentaires, s’éclairent mutuellement.Kita Bauchet désirait moins faire le portrait d’un homme que de son œuvre. Le cadre imposé au tournage par la paralysie du cinéaste, assis derrière son bureau, imposa d’emblée, se souvient-elle, la forme du film. Elle souhaitait surtout que le spectateur s’imprègne de son travail, de ses images.Lire l'Article

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