Filmographie : WIP (Wallonie Image Production)
Sasha, Adrien, Mathys, Thibault, Martin et Hadrien ont 12 ans et rêvent de devenir footballeurs professionnels. Ils jouent dans la même équipe à Waremme (Liège). En les accompagnant dans leur formation exigeante, cette série documentaire de 6 épisodes met l’accent sur les relations, parfois tendres, parfois tendues, entre les joueurs, les parents et les entraîneurs.
Sasha, Adrien, Mathys, Thibault, Martin et Hadrien ont 12 ans et rêvent de devenir footballeurs professionnels. Ils jouent dans la même équipe à Waremme (Liège). En les accompagnant dans leur formation exigeante, cette série documentaire de 6 épisodes met l’accent sur les relations, parfois tendres, parfois tendues, entre les joueurs, les parents et les entraîneurs.
Thibault, Martin et Hadrien ont 12 ans et rêvent de devenir footballeurs
professionnels. Ils jouent dans la même équipe à Waremme (Liège). En
les accompagnant dans leur formation exigeante, cette série documentaire
de 6 épisodes met l’accent sur les relations, parfois tendres, parfois
tendues, entre les joueurs, les parents et les entraîneurs.
On appelle "éternels" ceux qui souffrent de la mélancolie d’éternité. Convaincus que la mort ne peut avoir raison de leurs vies, ils se croient condamnés à errer dans l’attente du jour où ils seront libérés de leur existence. Ce film est un récit d’errances et de fuites, aux confins du Haut-Karabagh, une enclave arménienne en Azerbaïdjan. Habités par les fantômes du génocide et par la guerre qui y sévit depuis plus de vingt ans, les personnages qui traversent ce film portent en eux la mélancolie des éternels.
Un cabinet de consultation, dans un hôpital public, en Belgique. Un médecin y reçoit des patients : des hommes et des femmes, souvent accompagnés d’un proche. La plupart sont gravement malades, et ils le savent. Ils sont venus pour parler de leur fin de vie. Autant que les circonstances et pour autant que la loi le leur permette, ces patients veulent en effet choisir leur mort. Les dialogues sont francs, intenses, et d’une authenticité bouleversante. Ils sont surtout empreints d’une grande douceur. "Les mots de la fin" donnent à voir ces rencontres, avec discrétion et respect. Le film montre aussi les soignants, dans leurs échanges et leurs questionnements. Une leçon de vie, et d’humanisme...
Christophe Hermans participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Dans un village de Dordogne, Alain et Richard accueillent dans leur maison trois personnes âgées. Une alternative séduisante aux maisons de retraite traditionnelles. Avec des gestes proches de ceux d'un père, Alain et Richard accompagnent des mois, des années durant, les pensionnaires dans leur fin de vie. Ils forment une famille.
Le cinéaste Théo Angelopoulos meurt le 24 janvier 2012, renversé par une moto, sur le plateau de tournage de son dernier film. Il était entouré de son équipe dont je faisais partie.
Dans ce film inachevé, il racontait les destins des victimes de la crise grecque. Ironie du sort, les ambulanciers censés le secourir sont tombés en panne, les restrictions budgétaires ne leur permettant plus d’entretenir leurs véhicules. C’est la crise elle-même qui a tué Théo.
Dans une lettre filmée que je lui adresse, je retourne en Grèce. Et la liste des victimes de la crise n’a cessé de s’allonger, cette misère répondant à une autre que Théo avait senti venir : celle de l’arrivée massive de réfugiés qui se retrouvent piégés en Grèce avec la fermeture des frontières.
Pourtant, une résistance citoyenne s’organise chaque jour pour faire sortir de l’ombre ceux qui sont aujourd’hui menacés d’effacement.
Philippe De Pierpont participe à Cinéastes en Classe. Invitez-le dans votre classe !
Burundi, 1991. Philippe de Pierpont rencontre six enfants des rues à Bujumbura: il y a Zorito, le leader du groupe, Innocent, Philibert, Assouman, Etu et Jean-Marie. Pendant un mois, le cinéaste et les enfants apprennent à se connaître, puis décident, sur une idée de Zorito, qu'ils se reverront aux moments charnières de leur vie. Le réalisateur revient en 1994, mais le début de la guerre civile l'empêche de revoir les enfants. Lorsqu'il retourne au Burundi en 2003, il ne sait pas ce qui l'attend. Surtout, une question l'angoisse: les enfants - devenus de jeunes adultes - ont-ils survécu à la guerre?